n° 21/466 du 08 décembre 2014 |
Un petit scoop ? Cadeaux pour ceux qui savent lire entre les lignes |
Modèles presse |
Collection Lamborghini
Pour moi c’est déjà fini. Comme je le présentais lors de la sortie du n° 02 de cette collection (cf. le n° 20/465 de QUINZO43, daté du 24 novembre dernier) les n° 03 et 04 sont et seront encore vendus avec le magazine AutoPlus. Ce qui en augmente le prix. Sans attendre de savoir s’il en sera de même pour les modèles suivants, je renonce à poursuivre cette collection, étant contre ce type de politique de vente jumelée. Navré, mais vous n’en trouverez pas la présentation sur ce blog. |
BMW 2002 de 1968 Ixo/Hachette/AutoPlus – collection des Classiques de l’automobile, n° 126 Dérivée d’une 1600 produite pour une collection polonaise diffusée par le groupe DeAgostini, cette 2002 restitue de manière assez moyenne à mes yeux les lignes et volumes de ce petit coach que l’on voit encore de nos jours avec beaucoup de plaisir. Au point que par moment je me demande si je ne suis pas revenu à une époque que j’espérais aujourd’hui à jamais révolue… Celle des modèles à lignes approximatives. Il semblerait que j’ai encore tort aujourd’hui… D’autant que je vous ai présenté il y a quelques mois sa déclinaison boutiques sous les traits d’une 2002 tii en version US (cf. le n° 06/451 de QUINZO43, daté du 12 mai 2014) dont elle a hérité les roues. Comme sur cette dernière la reproduction de la large grille de calandre est assez quelconque, d’autant que les deux haricots centraux paraissent écrasés et en V, au lieu d’être rectilignes et verticaux. Les clignotants avant restent représentés par des autocollants orangés. Le dessin des roues alliage est assez quelconque. Roues un poil trop grandes. Le haut des vitrages latéraux n’est pas assez horizontal pour être réaliste. Cela fausse la perception de la silhouette de la voiture, inclinant le pavillon vers l’arrière. Ce qui n’est pas aussi accentué sur l’original. Et puis, il y ce montant central si épais derrière la portière. Si le dessin des feux arrière est réaliste, il a perdu l’arc supérieur orange. L’écusson à hélices trône à l’avant du capot moteur et sur le panneau de poupe. La lunette arrière n’est pas équipée d’une grille de désembuage. Le mobilier intérieur est entièrement noir, avec un volant sport à trois branches et cadrans au tableau de bord. Pas de mise en valeur des accessoires des contreportes. Le soubassement est très détaillé. |
CITROËN Dyane 4 de 1967 Ixo/Hachette/AutoPlus – collection 2Cv Citroën, n° 84
Cette version de la Dyane est bien une première en presse qui ne nous avait proposé jusqu’à présent que la version 6 à 6 glaces latérales. Aujourd’hui nous nous trouvons bien en présence de la version première de cette voiture, dotée alors de panneaux de custode entièrement tôlés. Nous retrouvons toutefois le même moule que celui utilisé pour la 6. S’il restitue assez correctement les lignes et volumes de l’original, il bénéficie d’une livrée bleu clair assez fine pour laisser apparaître la gravure des contours des portières. Mais je cherche encore en vain celles des découpes du capot moteur ou du hayon arrière ! La calandre à nid d’abeille est bien restituée. Le dessin des roues est simpliste. A noter que les poignées de portières, à la palette sous le bouton poussoir sont postérieures à l’année modèle, puisqu’apparues en 1975 me semble-t-il. Les feux arrière, rapportés, ne sont que rouges. Et que vient faire cette immatriculation étrangère ??? Le mobilier intérieur est entièrement noir et peu visible. Le soubassement est détaillé. Ainsi sur la photo de groupe y a-t-il, de gauche à droite, une Dyane 4 de 1967, une Dyane 6 de 1970 (calandre nid d’abeille) et une Dyane 6 de 1975 (calandre à barres horizontales) |
FIAT Uno Ixo/Altaya – collection des Taxis du monde, n° 59 Celle qui semble être l’avant dernier modèle de cette collection utilise un moule inédit en presse. En effet cette Uno de première génération nous est proposée en version 5 portes. Ses lignes, volumes et coloris sont réalistes. Elle bénéficie d’une gravure honnête. Notons la présence de l’unique essuie-glace du pare-brise qui est fin. La large grille de calandre est bien barrée par cinq obliques argentées et arbore dans son angle inférieur droit le monogramme FIAT. Les optiques et les clignotants, sont rapportés en plastique et correctement colorés. Le dessin des roues est réaliste. Les feux arrière sont eux aussi rapportés et en plastique. Mais uniquement rouge avec un carré alu pour représenter les feux de recul. La lunette arrière est dotée d’un essuie-glace. Le pavillon supporte une petite galerie. Le mobilier intérieur, bien détaillé, est entièrement noir. Le soubassement est en plastique détaillé. Sa conception incite à dire que ce modèle n’est pas totalement d’origine Ixo. |
FORD Sierra RS Cosworth de 1986 Ixo/Hachette/AutoPlus – collection des Classiques de l’automobile, n° 127 Cette RS blanche n’est pas tout à fait une inconnue pour nous puisqu’elle reprend le moule utilisé pour une voiture à livrée noire de la collection Voitures de rallye, n° 56 (rallye des 1000 lacs 1987) (cf. le n° 36 de l’alors Collec’Hebdo 43 daté du 10 avril 2006). Mais cette fois-ci vierge de toute décoration. Elle aurait pu servir de base à une nouvelle version rallye si le mobilier intérieur de la première avait été conservé. Ce qui n’est pas le cas. J’y reviendrai plus après. Par contre elle a conservé ses belles jantes, toujours dépourvues de disques de frein ! C’est donc une Sierra aux lignes très basiques et à la livrée blanche qui nous est proposée cette quinzaine. Ses lignes et volumes sont correctement restitué et bénéficie d’une gravure bien visible. Si les optiques principales laissent un peu à désirer du fait d’une représentation très basique, il faut noter que les ensembles veilleuses/clignotants, à l’avant et les feux arrières, sont rapportés, en plastique, et correctement colorés. Comme d’habitude il est noir. L’immatriculation de cette voiture dans l’Ain (01) n’est pas pour me déplaire, bien au contraire. Comme indiqué plus haut, cette nouvelle version de la Sierra n’a pas conservé le mobilier de la première. En effet, nous nous trouvons devant un intérieur de voiture de série avec sièges indépendants à l’avant et banquette à l’arrière et un couvre bagages. Le tout est noir, sans représentation du tableau de bord. Le soubassement est un peu détaillé. |
VOLVO F88 de 1975 Ixo/Altaya – collection des Camions d’autrefois, n° 120
Et de trois. Car c’est bien la troisième fois que l’on nous propose cette cabine. Nous l’avons déjà connue sous les n° 79 et 94, voire même quatrième fois avec le 25 (F89) de cette même collection. Voici donc le F88, très plaisant à regarder dans sa jolie décoration rouge et blanche. Il faut dire que ses lignes taillées à la serpe donnent toute sa personnalité à ce camion. Lignes bien restituées et mises en valeur par une finition de bon niveau avec de fins essuie-glaces métallisés et rétroviseurs latéraux rapportés en plastique noir. La grille de calandre est gravée et barrée de la transversale Volvo dont le monogramme figure sous ladite calandre. Les quatre optiques sont rapportées, tout comme les clignotants et autres feux de gabarit et de signalisation. Les jantes sont jolies, couleur alu avec leur voile rouge. La partie fourgon est soignée. Le dessin des portières arrière est complet avec charnières et poignées de fermeture. Ce qui n’a pas toujours été le cas (cf. le n° 79). A noter que ce camion n’a pas été modernisé et donc, n’est pas doté de la poutre anti encastrement habituelle. Malgré ses petites vitres latérales, il est possible de voir la bonne représentation du mobilier intérieur de la cabine où se trouvent les deux sièges des occupants et une petite couchette. Il y a aussi le coffrage de l’espace moteur avec une plage de rangement au-dessus. Le châssis est classique avec roue de secours. |