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18 mars 2016 5 18 /03 /mars /2016 15:10
 
n° 54/499 du 21 mars 2016

page 1/3

 

Modèles presse

LAMBORGHINI Gallardo LP 550-2 de 2009

préparée par Valentino Balboni

Ixo(*)/Hachette/AutoPlus – collection Lamborghini, n° 36

 

Dans le n° 32/477 de QUINZO43, daté du 11 mai 2015 je vous ai déjà présenté une Gallardo, la LP570-4 Superleggera de 2010, qui constituait le modèle n° 13 de cette collection.

Celle proposée aujourd’hui en reprend le moule et la finition soignée. En effet, elle possède une très belle gravure qui met en valeur ses lignes et volumes fidèles. Et ce, sous une livrée orange et blanc assez fine. Les essuie-glaces sont assez-fins pour rester réalistes. Tout comme les optiques avant, assez bien restituées. Ajoutons à cela de belles jantes alliage aux fins rayons travaillés. A noter qu’elles ne possèdent plus en leur centre l’écusson au taureau. Et l’on peut voir que les disques de frein ne sont pas dotés de leurs étriers. Les différentes entrées d’air sont bien creusées. Les différents monogrammes présents sur l’original se retrouvent sur cette voiture. Les feux arrière ont été très simplifiés. Pourquoi ne pas avoir repris ceux de la précédente ? Le troisième feu stop est bien présent dans l’épaisseur du capot moteur. Les quatre sorties d’échappement sont chromées et cylindriques. Le vaste capot moteur vitré laisse voir le dessus de l’ensemble mécanique qu’il renferme. Ce en quasi 3D. Le mobilier intérieur, réduit à deux sièges baquets, est noir et blanc. Il est correctement gravé et affiche les divers cadrans du tableau de bord et de la console centrale. Le soubassement, à fond plat, est peu détaillé.

_(*) La finition de ce modèle s’apparente plus à une fabrication Leo Models qu’à celle d’Ixo mais le modèle indique « Made in Bangladesh » ?

 

Revival

Cette semaine le numéro d’AutoPlus était proposé à la vente avec une réplique d’un cabriolet Peugeot 404 Quiralu. A en croire les fans de cette marque, ce modèle n’aurait pas été produit en son temps ! Si les lignes et volumes de ce modèle signé Pinin Farina se retrouvent facilement sous cette livrée rouge, je regrette l’absence de planche de bord. Absence qui serait conforme aux fabrications d’époque de ce réducteur. S’il y a une suite, elle se fera sans moi.

 
 
Encore de belles trouvailles lors de la brocante mensuelle ( la suite dans un prochain numéro)

LADA 1500 de 1967

Ixo/DeAgostini – collection roumaine Legendary Cars Collection, n° 07

Bis repetitas...  Voici aujourd’hui cette  berline dérivée de la FIAT 125 proposée sous le label LADA. Toujours issue de la collection roumaine. Ses lignes et  volumes se retrouvent facilement dans cette réduction. Ce, d’autant qu’elle bénéficie d’une gravure très fine, bien mise en valeur dans cette livrée violine.  La grille de calandre est chromée et incorpore les quatre optiques circulaires rapportées. Dommage que les ensembles clignotants-veilleuses avant horizontaux ne soient qu’orange alors qu’ils sont en plastique et rapportés. Les essuie-glaces manquent un peu de finesse. Tout comme les enjoliveurs de roues. Les bananes des pare-chocs ne sont pas revêtues d’une couche de caoutchouc, alors que les feux arrière sont rapportés, en plastique et seulement rouges.  A l’inverse, l’habitacle donne dans le sobre avec son mobilier entièrement noir, sans aucune fioriture. Ni cadran au tableau de bord. Le soubassement est peu détaillé.

 

PEUGEOT 601 coach fuselé de 1934

Solido/DeAgostini – collection italienne Auto d’elite degli anni trenta, n° ???

Déjà présenté dès le n° 11 de l’alors Collec’Hebdo 43, daté du 21 octobre 2005, sous le label Solido (réf. 4148) sous une livrée bleue, ce coach a été intégré à cette collection italienne. Et je trouve que sa finition est supérieure à celle du modèle boutique, en raison de la présence des petits enjoliveurs chromés. Absents sur le modèle boutiques. Le caractère étroit de l’habitacle est mis en évidence par la ligne étirée de la caisse et les larges marchepieds caoutchoutés. Modèle à toit ouvrant (seulement dessiné). L’intérieur est bien reproduit. Par contre, les clignotants à l’arrière des fenêtres et les feux arrière sur les ailes ne sont pas d’époque. Seuls étaient présents les feux peints sur la toile de part et d’autre de la plaque d’immatriculation. Immatriculation identique : 517 XC 25.

 

SIMCA Aronde Messagère de 1954

Ixo/Altaya – collection Simca – cadeau aux abonnés

Ayant eu la chance d’en recevoir un exemplaire grâce à Dame Patricia   - que je ne remercierai jamais assez pour ce qu’elle a fait pour nous autres collectionneurs, et pour moi en particulier – j’ai décidé d’effacer la décoration de celle-ci pour en faire un modèle de série.

 
 

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Published by Trebor Yles
15 mars 2016 2 15 /03 /mars /2016 23:01
 
n° 54/499 du 21 mars 2016

page 2/3

 

Modèles presse

Quoi de neuf ?

(suite)

 

Il ne m’aura pas fallu très longtemps après la mise en ligne du dernier numéro de QUINZO43 pour avoir des nouvelles de ce qui se profile dans les jours/heures à venir. D’abord un petit retard de logistique. D’intendance aurait-on dit de mon temps. Mais tout semble être rentré dans l’ordre.

En attendant de pouvoir vous détailler les premiers modèles de la collection de camping-cars qui se profile, et il y a dire sur l’un d’eux, faute de les avoir devant moi je vous en présente quelques uns à l’aide de photographies non propriétaires.

 
 
 
 
 
- je tiens à remercier par avance le lecteur qui pourra me les procurer
 

 

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Published by Trebor Yles
14 mars 2016 1 14 /03 /mars /2016 13:54
 
n° 54/499 du 21 mars 2016
 

page 3/3

 

Collection "Passion Camping-cars"

Grâce à deux collectionneurs amis que je remercie pubiquement ici, je suis en mesure de vous en présenter les photos du premier numéro .
Je ferai mes commentaires dans le prochain numéro de QUINZO43.
 

 

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Published by Trebor Yles
5 mars 2016 6 05 /03 /mars /2016 13:48
 
n° 53/498 du 07 mars 2016
 

Modèles presse

Quoi de neuf ?

Eh ben rien pour l’instant. Je sais, je vous déçois aujourd’hui. Pas tout à fait de ma faute. Je pensais être en mesure de vous montrer ce que certains devraient découvrir chez leurs pressiers dès la semaine prochaine. Mais pour l’heure je n’ai pas encore le matériau… Je suis vraiment navré de cette situation, d’autant que ce n’est pas dans mes habitudes de faire une annonce... sans rien au bout.

 

LAMBORGHINI Jalpa P350 de 1981

Ixo/Hachette/AutoPlus – collection Lamborghini, n° 35

Au premier abord l’on pourrait les croire issues du même moule. Mais il n’en est rien. La grise est labellisée Minichamps (réf. 400 103301). Elle a eu les honneurs du n° 181 de l’alors Collec’Hebdo 43, daté du 26 janvier 2009). Au second, la rouge signée Ixo s’avère un peu plus généreuse en volume. Et si la première a été proposée fermée, celle d’aujourd’hui nous l’est ouverte (mais sans toit amovible fourni à part). Peut-être prévu pour une future version boutique. Qui sait ? Cela ne nous empêche pas de retrouver facilement les lignes et les volumes de l’original, dans une belle livrée écarlate.  Ce d’autant plus que cette réduction bénéficie d’une gravure très fine. La quasi absence de calandre avant a bien été restituée et intègre des ensembles veilleuses-clignotants rapportés et correctement colorés et deux petits antibrouillards. Si le dessin des roues est acceptable celles-ci s’avèrent équipées de pneus trop larges pour correspondre aux montes de l’époque, il y a déjà 35 ans !. Les différents logos et monogrammes sont à leurs places et l’arrière jouit d’un beau travail reproduisant les différentes évacuations d’air et des gaz d’échappement.  L’intérieur n’est pas en reste avec un mobilier tabac à la gravure très fine et surplombé par une planche de bord à l’instrumentation limitée à celle du seul tableau de bord proprement dit ! Le volant est placé trop bas et la colonne de direction trop horizontale. Le soubassement n’est pas détaillé.

 

Ou quand une petite brocante rivalise avec les bourses d’échanges

 

Le 14 février dernier, je ne suis pas allé à la bourse d’échange de Brignais dont les deux éditions précédentes m’avaient déçu, faute d’être bien achalandées en modèles presses étrangères. J’ai préféré aller à la brocante mensuelle de Bourg en Bresse d’où j’ai ramené ces modèles vendus  5 € pièce. Même celui de Provence moulage ! Pourtant neuf et dans sa boite…

 

Modèles presses étrangères

ALFA-ROMEO  1600 spider « Duetto » de 1966

Metro/Fabbri - Collection Alfa-Roméo sport, n° 46

Très sympa(thique) ce cabriolet fermé nous restituant d’assez belle façon les lignes, volumes et livrée de l’original.  Dommage en effet, que la première chose que j’ai remarquée soit le rétroviseur extérieur aussi grossier qu’il jure avec le reste. D’accord il y a aussi les deux poignées de fixation du capot moteur, à la base du pare-brise qui manquent aussi de finesse. Mais là c’est pour l’authenticité du modèle. Si les phares sont rapportés et bien placés sous des bulles transparentes, les clignotants avant ne sont que peints entre les deux lames parallèles du pare-chocs. Le dessin des voiles de roues est très fin et réaliste. Comme à l’avant pour les clignotants, les feux arrière ne sont que peints. Par contre la sortie d’échappement est bien creusée. La petite capote, fermée, ne gêne pas trop la vision du mobilier de l’habitacle, tout en noir. Lequel se limite à deux petits sièges. Les cadrans du tableau de bord sont visibles derrière le volant sport à trois branches. Le soubassement est détaillé.

 

POLSKI FIAT 125p  de 1967

Ixo/DeAgostini – collection roumaine Legendary Cars Collection, n° 27

Dans le numéro 264 de l’alors CH43, daté du 30 août 2010, je vous ai présenté le break diffusé sous le label Ist models (réf. IST082).  Voici aujourd’hui la berline en version routes. Même si cette fois-ci il s’agit d’un modèle presse, les lignes et les volumes de cette berline se retrouvent facilement dans cette réduction. Ce, d’autant qu’elle bénéficie d’une gravure très fine, bien mise en valeur dans cette livrée blanc cassé.  La grille de calandre est chromée et incorpore les quatre optiques circulaires rapportées. Dommage que les ensembles clignotants-veilleuses avant verticaux ne soient qu’en métal coloré. Les essuie-glaces manquent un peu de finesse. Tout comme les enjoliveurs de roues. Les bananes des pare-chocs donnent l’illusion d’être revêtues d’une couche de caoutchouc, alors que les feux arrière sont rapportés, en plastique et correctement colorés.  A l’inverse, l’habitacle donne dans le sobre avec son mobilier entièrement noir, sans aucune fioriture. Ni cadran au tableau de bord. Est-ce pour compenser un peu, le soubassement est travaillé au niveau des trains roulants et est doté d’une ligne d’échappement faisant appel à des éléments rapportés.

 

Modèles boutiques

Concept-car CITROËN C-Cactus (salon de Francfort 2007)

Provence Moulage – réf. PM0012 (AMC018907)

Quelle étrange voiture que ce C-Cactus. Surtout quand l’on voit ce qu’elle est devenue un modèle de série. Mais bon, vu le prix, pourquoi se retenir ? Lignes, volumes et livrée sont très réalistes. Le tout bénéficie d’une bonne gravure et de vastes surfaces vitrées permettant de découvrir son intérieur. Intérieur tout aussi original que l’extérieur. Les essuie-glaces sont sur la plage à la base du pare-brise. Pour une fois les blocs optiques sont très bien travaillés et réalistes. Tout comme la grille de calandre aux multiples losanges. Le dessin des roues en pétales de fleurs laisse découvrir les disques de frein avec leurs étriers. Notez que la bande de roulement est parcourue par une bande blanche. Les imposants feux arrière sont entièrement rouges. Les doubles chevrons ornant la face avant et le hayon arrière sont chromés et rapportés.  L’habitacle est très dépouillé. Il n’y a pas de planche de bord. La rare instrumentation se trouve au centre du volant et sur le tunnel de servitude. Les sièges avant sont très enveloppants. Le coffre n’est pas caché aux regards. Le soubassement n’est pas détaillé.

 

BONUS

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Ajout du lundi 07 mars 2013
 
 
 

 

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Published by Trebor Yles
20 février 2016 6 20 /02 /février /2016 09:20
 
n° 52/497 du 22 février 2016
 

Le contenu de ce numéro m’a donné l’idée d’un petit compar’hâtif comme j’en faisais au début de Collec’Hebdo 43. C’est la présence, côte à côte de la Peugeot 304 avec la Lamborghini Urus, devant moi, qui eest à son origine. En effet la première apparait vraiment petite par rapport à la seconde et pour cause… voici quelques chiffres :

 

 

Peugeot 304

Lamborghini Urus

Année modèle

1973

2012

Longueur

4.14 m

4.99 m

Largeur

1.57 m

1.99 m

Hauteur

1.41 m

1.66 m

Puissance

59 ch (DIN)

600 ch

 

 

 

 

Modèles presse

LAMBORGHINI Urus de 2012

Ixo/Hachette/AutoPlus – collection Lamborghini, n° 34

Je sais que je ne vais pas me faire que des amis avec ce qui va suivre, mais pour moi, les modèles issus du style choisi par les propriétaires actuels de la marque ne devraient pas continuer à porter des noms de taureaux. Ils devraient plutôt porter des noms de batraciens tant le style de cet Urus ressemble à un gros crapaud.  Voilà, c’est écrit. Cela n’enlève rien à la qualité du modèle que l’on a devant nous car ses lignes, volumes et coloris correspondent bien à ceux de ce concept-car révélé lors du salon de Pékin 2012. Il y a cependant quelque chose que je n’aime pas. C’est le traitement des vitrages surteintés qui donne l’impression qu’ils sont sales intérieurement. A l’inverse, j’aime beaucoup la finesse de réalisation des jantes alliage au dessin très tourmentés. Jantes qui laissent voir des disques de frein aérés et dotés d’étriers. Les feux arrière ne sont que peints. Les rétroviseurs latéraux sont remplacés par des caméras. Les quatre sorties d’échappement sont bien dessinées. La petite lunette arrière est surmontée d’un vrai aileron. Le mobilier intérieur est noir et blanc (sièges). Les cadrans du tableau de bord sont représentés. Le soubassement est lisse.

 

Ajout du 22/02/2016

 

PEUGEOT 403 Familiale de 1958

Ixo( ???)/Hachette/AutoPlus – collection des Véhicules publicitaires, n° 09

Quelque chose m’intriguait au vu des photos de cette 403 publiées sur FA. Il fallait donc que je me la procure. Ce qui est fait depuis cet après-midi. Merci au pressier qui ne retourne pas les invendus de cette collection. Ce qui m’intriguait se situe à l’arrière. Et à l’intérieur. C’est la position trop élevée – et visible – de la roue de secours, dont la bande de roulement ne dépassait pas le haut du dossier de la banquette arrière. Roue d’ailleurs revêtue d’une hausse plastifiée. Pour le reste, ce je ne suis pas convaincu qu’Ixo en soit le véritable créateur. Ne serait-ce qu’en raison des deux vis de fixation. Et de la conception du soubassement. Si l’on retrouve assez facilement les lignes, volumes et livrée de l’original, j’aurai malgré tout quelques autres remarques à formuler. A commencer par des entourages de vitrages un peu trop généreux, ce qui réduit  les surfaces vitrées latérales. Ce d’autant que le petit jonc chromé qui les entourait sur la version Familiale n’a pas été oublié. Et puis il y a cette calandre dont l’arrondi supérieur est trop prononcé. Il aurait gagné à être plus aplati. Mais il manque l’arc de cercle intermédiaire, plus fin et qui passait au-dessus de l’écusson au lion. Objection, il est bel et bien représenté mais il n’a pas été chromé !?! On le devine malgré tout. Si les optiques sont réalistes les gros clignotants blancs ne sont que des clous chromés. Les roues sont quelconques.  Les feux arrière sont métalliques et peints. Il y a bien la petite plateforme extérieure avec deux barres de maintien de par et autre de la portière arrière. Le mobilier intérieur est entièrement noir et composé de trois rangées de sièges. Le soubassement est un peu détaillé.

Fin de l'ajout
 

Modèles boutiques

 

 

Spécial « PEUGEOT 304 par Minichamps »

 

 

Liminaire – Les répétiteurs de clignotants sur les ailes avant n’étaient pas obligatoires en France au début des années 1970. Leur présence sur trois des quatre modèles  présentés ci-dessous indique la reproduction de modèles exportés.

PEUGEOT berline 304 de 1972 (AM1973)

Minichamps – réf. 400 112760

 

Reconnaissable à son pavillon redessiné et à ses nouveaux feux arrière horizontaux, la berline 304 de l’AM 1973 est très bien restituée. Nous retrouvons facilement ses lignes et volumes sous cette livrée vert bouteille métallisé. La voiture est plaisante à regarder et bénéficie d’une bonne finition avec une gravure fine que la peinture ne noie pas. Les essuie-glaces et les rétroviseurs extérieurs, sont rapportés et chromés. Tout comme les poignées de portière. La face avant lui donne de faux airs de 504. Les optiques trapézoïdales sont rapportées en plastique translucide. Elles surmontent les ensembles veilleuse-clignotant correctement colorés. Les plaques de police sont vierges de toute immatriculation.  Le dessin des voiles de roue correspond à la version 304 classique. Les panneaux de custode ont bien une grille de sortie d’air à leur base. Les feux arrière, rapportés, sont correctement colorés. Le panneau vertical accueille le monogramme Peugeot. La sortie d’échappement est creuse. Le mobilier intérieur est tabac alors que les sols, contreportes et planche de bord sont noirs. Il est bien dessiné et les sièges avant sont dotés d’appuie-tête. Le tableau de bord a des cadrans circulaires. Le soubassement est détaillé en quasi 3D. Il permet de constater que les roues arrière sont indépendantes. Il n’y a pas d’axe les reliant. Comme sur la vraie.

 

PEUGEOT break 304 de 1972 (AM1973)

Minichamps – réf. 400 112711

Reprenant la carrosserie du break 204, le break 304 de l’AM 1973 est – lui aussi - très bien restitué. Nous retrouvons facilement ses lignes et volumes sous cette livrée blanc cassé. La voiture est plaisante à regarder et bénéficie d’une bonne finition avec une gravure fine malgré une peinture ayant tendance à la noyer. Les essuie-glaces et les rétroviseurs extérieurs, sont rapportés et chromés. Tout comme les poignées de portière. La face avant est mieux réussie que celle de la berline. Les optiques trapézoïdales sont rapportées en plastique translucide. Elles surmontent les ensembles veilleuse-clignotant correctement colorés. Les plaques de police sont vierges de toute immatriculation.  Le dessin des voiles de roue correspond à la version 304 classique. Les feux arrière triangulaires, rapportés, sont correctement colorés. Le hayon accueille le monogramme Peugeot et un lion dressé. La sortie d’échappement est creuse, mais très et trop longue…. Le mobilier intérieur est entièrement noir. Il est bien dessiné Le tableau de bord a des cadrans circulaires. Le plancher de chargement est équipé de baguettes peintes. Le soubassement est détaillé en quasi 3D. Il permet de constater que les roues arrière sont indépendantes. Il n’y a pas d’axe les reliant. Comme sur le vrai.

 

PEUGEOT cabriolet 304S de 1972 (AM1973)

Minichamps – réf. 400 112731

Le cabriolet 304S de l’AM 1973 est très bien restitué. Nous retrouvons facilement ses lignes et volumes sous cette livrée blanche. La voiture est plaisante à regarder et bénéficie d’une bonne finition avec une gravure fine que la peinture à tendance à noyer. Les essuie-glaces et les rétroviseurs extérieurs, sont rapportés et chromés. Tout comme les poignées de portière et le crochet d’ouverture du couvercle du coffre. A noter que le pare-soleil passager est équipé d’un miroir de courtoisie. La face avant est correcte, comme celle du break. Les optiques trapézoïdales sont rapportées en plastique translucide. Elles surmontent les ensembles veilleuse-clignotant correctement colorés. Les plaques de police sont vierges de toute immatriculation.  Le dessin des voiles de roue correspond bien à la version 304S. Les feux arrière, rapportés, sont correctement colorés et encadrent deux feux de recul, eux-mêmes rapportés. Le panneau vertical accueille le monogramme S, alors que le couvercle du coffre arbore celui de Peugeot. La sortie d’échappement est creuse. Le mobilier intérieur est entièrement noir. Il est bien dessiné et les sièges avant dotés d’appuie-tête. Le tableau de bord a des cadrans circulaires. Le soubassement est détaillé en quasi 3D. Il permet de constater que les roues arrière sont indépendantes. Il n’y a pas d’axe les reliant. Comme sur le vrai.

 

PEUGEOT coupé 304S de 1972 (AM1973)

Minichamps – réf. 400 112721

Tout comme les trois autres modèles, le coupé 304S de l’AM 1973 est très bien restitué. Nous retrouvons facilement ses lignes et volumes sous cette livrée orange. La voiture est plaisante à regarder et bénéficie d’une bonne finition avec une gravure fine que la peinture à tendance à noyer, notamment au niveau du capot moteur. Les essuie-glaces et les rétroviseurs extérieurs, sont rapportés et chromés. Tout comme les poignées de portière et le crochet d’ouverture du hayon arrière. La face avant est correcte, comme celle du break ou du cabriolet. Les optiques trapézoïdales sont rapportées en plastique translucide. Elles surmontent les ensembles veilleuse-clignotant correctement colorés. Les plaques de police sont vierges de toute immatriculation.  Le dessin des voiles de roue correspond bien à la version 304S. Les feux arrière, rapportés, sont correctement colorés et encadrent deux feux de recul, eux-mêmes rapportés. Le panneau vertical accueille le monogramme S, alors que le hayon arbore celui de Peugeot. La sortie d’échappement est creuse. Le mobilier intérieur est entièrement noir. Il est bien dessiné et les sièges avant dotés d’appuie-tête. Le tableau de bord a des cadrans circulaires. Il y a même un semblant de ciel de pavillon. Le soubassement est détaillé en quasi 3D. Il permet de constater que les roues arrière sont indépendantes. Il n’y a pas d’axe les reliant. Comme sur le vrai.

 

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Published by Trebor Yles
1 février 2016 1 01 /02 /février /2016 14:56
 
n° 51/496 du 08 février 2016
 

Modèles presse

Alors que dans le n° 48/493 de QUINZO43, daté du 28 décembre 2015, j’évoquais ce qui nous attend cette année, j’avais glissé un lien vers un indice. A ce jour, un seul lecteur l’a découvert. Or mon petit doigt me dit que d’ici cinq à six semaines nous aurons de belles choses à découvrir. Une fois encore je précise que ce sera de l’inédit en presse et que l’on devrait en avoir pour notre argent… Affaire à suivre. En attendant voici les rares rentrées de la quinzaine écoulée.

 

LAMBORGHINI Jarama GTS de 1972

Ixo/Hachette/AutoPlus – collection Lamborghini, n° 33

Après la version rallyes, voici la version routes de cette Jarama. Cette fois-ci bel et bien signée Ixo. Nous retrouvons très facilement les lignes et volumes assez passent partout de ce coupé. Sa gravure est très fine et la finition d’un bon niveau, sans toutefois égaler celle proposée par Leo Models. Cela n’empêche pas de trouver des essuie-glaces rapportés en plastique noir et un unique rétroviseur extérieur, côté gauche. J’écrits volontairement « unique » car l’original était doté d’un autre rétroviseur extérieur, côté droit… Le capot moteur est correctement représenté avec son large bossage central et ses deux petites prises d’air. Dommage que les quatre optiques principales, dissimulées sous des volets rabattus, ne soient qu’à peine esquissées. Et pourquoi avoir affublée la lame du pare-chocs d’optiques débordantes alors qu’il ne s’agit en fait que de clignotants blancs intégrés dans ledit pare-chocs. Les voiles des roues est assez réaliste. A noter que ce modèle est équipé de pneus plus étroits que sur la version rallye. Le dessin des vitrages latéraux est correct, même si pour moi il ne remonte pas assez à la base des panneaux de custode. A l’arrière, outre les feux principaux, rapportés et correctement colorés, Ixo a fait l’effort de rapporter également les deux petits feux de recul juste au-dessus des quatre sorties d’échappement bien creusées.  Le mobilier intérieur, à quatre places - plus exactement de type 2+2 -, est entièrement noir mais il y a les cadrans au tableau de bord et un volant sport en bois ! Le soubassement est détaillé.

 

RENAULT 1400 kg

Ixo/Hachette/AutoPlus – collection des Véhicules publicitaires, n° 07

L’occasion faisant le larron… Je n’ai pu attendre de le recevoir dans le cadre de l’abonnement. Et comme je ne pensais pas le trouver vu qu’il s’arrachait un peu partout, lorsque je l’ai aperçu dans la vitrine d’un pressier devant lequel je passais cette semaine…  D’autant que cette fois-ci il y a bien les poignées au sommet des bouteilles de gaz !!!

Bravo et merci pour ce modèle original.

 

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Published by Trebor Yles
16 janvier 2016 6 16 /01 /janvier /2016 08:16
 
n° 50/495 du 25 janvier 2016
 

Modèles presse

LAMBORGHINI Huracan LP 610-4 de 2014

Ixo (1)/Hachette/AutoPlus – collection Lamborghini, n° 32

Quelle est cette grenouille ? Pardon, il s’agit d’une Huracan proposée dans cette livrée verte. Faut dire aussi que ses lignes et volumes, au demeurant fort bien restitués, contribuent fortement à cet aspect de batracien. Ceci écrit, ce modèle jouit d’une bonne finition, même si celle-ci aurait pu être améliorée. Le large pare-brise est pris en charge par deux grands essuie-glaces assez fins. Le dessin des optiques avant est acceptable, vu leur complexité. La large prise d’air n’est pas dotée de sa grille aux alvéoles hexagonales, dommage ! Le dessin des jantes alliage est fidèle et présente l’écusson au taureau en son centre. Ces jantes permettent de découvrir les disques de freins aérés qui les accompagnent et leurs étriers noirs. Ils auraient du être rouges ! Un petit cartouche LP610-4 précède les roues arrière. Le dessin des feux arrière est fidèle. Ils encadrent troisième feu stop et monogramme Lamborghini. Un large évacuateur d’air s’étale en-dessous et accueille les quatre grosses sorties d’échappement bien creusée. Le capot moteur est vitré en sa partie centrale. Ce qui nous permet de découvrir le dessus du moteur, représenté en quasi 3D. Le mobilier intérieur est entièrement noir et peu visible. Néanmoins il est possible de voir les cadrans du tableau de bord et les deux sièges baquets qui le composent. Le soubassement n’est pas détaillé du tout.

_(1) En fait il s’agit d’un modèle réalisé par Leo Models

 

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Juste un mot au sujet de ce modèle : contrairement à ce que j’ai pu lire sur FA au sujet de sa décoration, ce n’est pas celle figurant à l’arrière qui est trop grande. C’est en fait la représentation des charnières et des ouïes d’aération qui est trop généreuse. Le fait d’avoir eu recours à une base déjà maintes fois utilisée dans d’autres collections, permettra d’avoir des modèles totalement inédits, comme celui qui arrivera dans quelques jours. Longue vie à cette collection pleine de promesses.

 

Modèles boutiques

 

RENAULT Mégane IV de 2015

Norev – réf. 517719

A vouloir proposer un modèle à prix bas, Norev simplifie la finition de ces modèles. Une fois encore nous avons droit à des « roues boutons » d’une seule pièce et à la bande roulement lisse et face arrière pleine. C’était peut-être acceptable à l’époque des Norev-Jet, mais plus aujourd’hui. Et que penser des rétroviseurs extérieurs faisant partie intégrante de la carrosserie et dépourvus de miroir ? Il en est de même pour la représentation des essuie-glaces, gravés à même le pare-brise, ou la lunette arrière ! Si les lignes et volumes de la nouvelle Mégane IV sont bien restitués, certains détails auraient pu être mis mieux en évidence. A commencer par la nouvelle calandre qui manque vraiment de relief. Les blocs optiques sont acceptables. Si le dessin des jantes alliage est soigné il permet également de constater l’absence de représentation des disques de frein. Les feux arrière sont correctement reproduits. Le mobilier intérieur, bien dessiné, est entièrement noir. Le soubassement est détaillé.

 

SIMCA 1000 cabriolet Barreiros de 1967

Label 43 sur base ODEON (*) – réf. ODEON008  (exclusité Miniatures Lyon)

Mé kézako?

Autant l’écrire tout de suite : l’ablation du pavillon du moule de la 1000 produite par Ixo améliore le rendu de ce modèle très particulier qui fut réalisé par le constructeur espagnol Barreiros pour permettre de visiter son usine de Villaverde.

Je ne reviendrai donc pas sur le caractère très approximatif de ce moule sinon pour savoir quand Ixo nous proposera enfin une berline 1000 bien proportionnée et donc réalisée à partir d’un tout nouveau moule ?

Ce « cabriolet » réalisé à partir de la berline est bien restitué mais il manque le monogramme Barreiros sur les ailes avant. Pour le reste, l’ensemble est plaisant à regarder.

 

SIMCA Horizon de 1978

ODEON (**) – réf. ODEON 010

Et voici une énième Horizon qui entre dans ma collection personnelle, en fait la 10ème signée Ixo. Cette fois-ci il s’il s’agit toujours, d’après les monogrammes apposés sur sa carrosserie, d’une GLS nous avons affaire avec l’un des tout premiers modèles commercialisés de l’AM 1978, du temps où le constructeur s’appelait encore Chrysler et qu’il diffusait l’Horizon sous la marque SIMCA. Monogrammes chromés. Si l’on retrouve avec plaisir ce moule, il n’en reste pas moins que sa face avant est toujours trop inclinée et que ses voiles de roues peu fidèles.  Ce modèle bénéficie cependant d’une bonne finition avec de très fins essuie-glaces pour le pare-brise et la lunette arrière. La calandre arbore le pentastar de Chrysler. Les clignotants avant sont trop foncés. Par contre, les feux arrière sont bien colorés. Dommage que le mobilier intérieur ne soit que gris clair. Il aurait mérité des contreportes bicolores et des sièges à larges bandes colorées transversales pour représenter complètement la finition GLS de l’époque. Le soubassement n’est pas détaillé.

_(*) et (**) : jusqu’à présent je ne pouvais que supputer d’après les photos vues sur le net. Maintenant que j’ai ces deux modèles devant moi, je peux l’écrire. ODEON est une marque du distributeur MOMACO dont les modèles sont puisés dans le catalogue d’IXO.

 
 
 
 
 
 
 
 
 

 

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Published by Trebor Yles
10 janvier 2016 7 10 /01 /janvier /2016 15:08
 
n° 49/494 du 11 janvier 2016
 
 

Modèles presse

LAMBORGHINI Aventador J de 2012

Ixo/HachetteAutoPlus – collection Lamborghini, n° 30

Dans le n° 28/473 de QUINZO43 daté du 16 mars 2015, je vous présentais la version berline (n°10 de cette même collection) dans une livrée jaune acide. Aujourd’hui, en voici une version découverte pour laquelle je reprendrai volontiers moult commentaires faits alors en raison de ses lignes avant-gardistes. Ou supposées telles.  Où sont passées les courbes harmonieuses des Lamborghini d’antan ? Depuis sa reprise par le groupe Volkswagen celles-ci ont laissé, petit à petit, la place à des lignes taillées à la serpe. D’où un look étrange que l’on aime… ou pas ! Toujours est-il que le passage d’une Lamborghini attire toujours le regard. Mais revenons à notre Aventador. Celle-ci restitue de belle manière les lignes, volumes et coloris de l’original. Et question coloris, je me dois de signaler le côté « m’as-tu vu ? » de celui-ci.  Notez l’absence de tout pare-brise sur cette barquette. Uniquement proposée avec deuix petits saute-vents. Le dessin des blocs optique avant est des plus stylisés. Notez la présence de très belles jantes carbone laissant voir de grands disques de frein aérés mais, encore une fois, dépourvus de toute représentation des étriers. Tout le panneau arrière est noir à l’exception des feux arrière en Y couchés et des quatre sorties d’échappement au dessin original. Le capot moteur est surmonté d’un large aileron. Il est ouvert en son centre. Ce qui permet de voir une reproduction en quasi 3D du dessus du moteur. Le mobilier intérieur est noir, et très détaillé. Les deux sièges baquets qui le composent sont séparés par un imposant tunnel de servitude surmonté d’un fin rétroviseur central. Le soubassement n’est pas détaillé.

 

LAMBORGHINI Jarama Rally de 1973

Ixo (*)/Hachette/AutoPlus – collection Lamborghini, n° 31

Avec cette Jarama nous revenons aux origines de la marque. Et même si les lignes de ce modèle sont des plus banales, elles n’en reflètent pad mois l’esprit des années 1970. Il est d’autant plus séduisant qu’il bénéficie d’un bon niveau de finition avec nombres de détails représentés : à commencer par les décorations frontales et latérales à base de rivets. Si les quatre optiques principales sont rapportées, en plastique translucide, les clignotants avant ne sont que trait de peinture orange. De très belles roues l’équipent. L’arrière est équipé d’un aileron assez imposant. Les feux arrière sont rapportés, en plastique et correctement colorés. Quatre sorties d’échappement bien creusées, complètent le panorama. Le mobilier intérieur noir et orange est bien détaillé. Outre les deux sièges baquet, il y a deux extincteurs et un arceau-cage à l’intérieur. La planche bord est représentée avec tous ses cadrans derrière un volant sport. Le soubassement est détaillé. 

_(*) En fait il s’agit d’un modèle réalisé par Leo Models

 

Par  abonnement

 
 

Presse italienne

 

Ces  Maserati, m’ont étaient procurées par JPL que je remercie une nouvelle fois ici.

 

MASERATI Quattroporte I de 1966

LeoModels/Fabbri/LaGazzettadelloSport – collection Maserati, n° 05

Révélée lors du salon de Turin 1963, la Quatroporte arborait deux optiques rectangulaires (version proposée par Minichamps). Elle les remplacera par des optiques circulaires doubles à l’occasion du salon de Paris 1966. Ce qui est le cas pour la Quattroporte présentée aujourd’hui. Mais il y a un hic ! Cela m’aurait étonné entends-je déjà… Eh oui. A cette occasion, la Quattroporte a abandonné l’essieu arrière deDion d’origine pour un train rigide suspendu par ressorts à lames. Or le soubassement dont elle est affublée représente la transmission d’origine… Dont est aussi équipée la version proposée par Minichamps. Ceci écrit, nous nous trouvons devant un très beau modèle aux lignes, volumes et livrée bleu nuit, très réalistes. D’autant que la finition – sans vraiment égaler celle d’un modèle boutique – est d’un très niveau assez élevé par rapport aux standards des collections presse françaises. D’accord, les essuie-glaces, par lesquels je commence, sont assez grossiers. Mais pour le reste… Nous avons droit à de belles optiques circulaires rapportées, des ensembles veilleuses-clignotants, eux aussi rapportés, en plastique correctement coloré. Le tout encadrant une généreuse grille de calandre bien gravée. L’entrée de la prise d’air du capot est soulignée d’un fin trait alu. Si les voiles des roues et leurs enjoliveurs sont réalistes l’ensemble est de trop grand diamètre. Les nombreux chromes encadrant les vitrages sont représentés couleur alu. Les panneaux de custode arborent l’écusson Maserati avec son trident. Le panneau arrière arbore les monogrammes Maserati 4000 et Quattroporte de part et autre de la poignée d’ouverture du coffre. Les feux arrière sont rapportés, en plastique, et correctement colorés. La lame du pare-chocs arrière comporte bien les bossages de l’éclairage de la plaque de police. Ou d’immatriculation si vous préférez. Les deux sorties d’échappement ont bien été rejetées vers l’extérieur, par rapport aux premiers modèles (cf. la Minichamps). Mais c’est à l’intérieur que ce modèle fait la différence avec nombre d’autres en nous proposant un très beau mobilier caramel au lait très bien détaillé. La planche de bord et la console centrale sont plus foncées et supportent les cadrans bien reproduits. Il y a aussi un volant sport à trois branches. Le soubassement est bien détaillé, mais ne correspond pas, selon moi, à la Quattroporte I « restylée » en 1966. Mais comme cela ne se verra pas dans une vitrine…

 

MASERATI A6GCS Berlinetta PininFarina de 1953

LeoModels/Fabbri/LaGazzettadelloSport – collection Maserati, n° 07

Avec cette berlinette signée PininFarina, nous remontons davantage dans le temps. Si ses lignes, volumes et livrée sont réalistes je la trouve un petit peu trop étroite d’à peu près 2mm.  Malgré tout, ce modèle bénéficie d’une finition correcte avec de fins essuie-glaces, des optiques et des clignotants avant rapportés en plastique translucide. Sans oublier la grille de calandre ovale frappée du célèbre trident, bien gravée. Les roues à fils sont très acceptables. La double sortie d’échappement latérale (côté gauche), n’est pas creusée. Les chromes encadrant les vitrages sont représentés couleur alu.  Le panneau de custode gauche reçoit la trappe à carburant dont on aperçoit le tuyau d’alimentation à travers la lunette arrière. Bravo ! Par contre, les feux arrière ne sont que métalliques et peints. Les deux petits baquets, constituant le maigre mobilier intérieur, sont bleu foncé.  La planche de bord est détaillée derrière un beau volant sport. Le soubassement n’est pas détaillé.

 
 
 
 
 

 

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Published by Trebor Yles
20 décembre 2015 7 20 /12 /décembre /2015 15:34
 
n° 48/493 du 28 décembre 2015

Modèles presse

 

Liminaire : Les jours qui viennent seront dédiés principalement à nos petits enfants. C’est pourquoi vous trouvez dès à présent ce numéro de QUINZO43.

 

Depuis quelques semaines les semi-remorques d’exception ont fait leur retour chez mon pressier. Ce qui m’a permis de faire l’acquisition de certains modèles, dont le dernier – faute de place, réservée pour les collections à venir (voir plus après) – vous est présenté aujourd’hui. Pourquoi ce retour ? A en croire ce qui s’écrit ici ou là il semblerait qu’il y ait une certaine désaffection pour cette collection en ce qui concerne les ventes en presse. Faut dire que sortir 50 € par mois c’est déjà pas mal. Pour peu que l’on collectionne aussi les Véhicules de Sapeurs-pompiers, 40 €,  et les Autobus ou autres autocars du monde, 40 € également ; sans compter celle des Véhicules publicitaires qui démarre, ou encore la collection des Lamborghini, pour ne citer qu’elle, et voila votre budget qui explose. Ceci pouvant expliquer cela… qui me rappelle certains propos tenus il y a deux ans déjà.

 

 

Et demain ?

Alors que 2015 est sur le point de s’achever qu’il me soit permis de faire quelques prospectives sur ce que devrait nous apporter 2016. Comme je le laissais entendre dans le numéro 38/483 du 10 août 2015, spécial 10 ans, nous devrions nous voir proposer des reprises mais aussi de l’inédit. Et quand j’écris de l’inédit, il s’agit pas de déjà vu ailleurs. Et ce, sans parler des modèles à venir dans les collections actuelles.  Pour cela il nous faudra patienter jusqu’au printemps, voire l’automne. En attendant, je vous souhaite de passez de Bonnes Fêtes de fin d’année entourés de vos proches et à l’année prochaine. Si vous le voulez-bien.

 

 

Spécial Presses étrangères

 

Les brocantes réservent parfois d’agréables surprises, même lorsqu’elles sont de toute petite taille, comme celle d’où j’ai rapporté ce mois ci les quatre modèles ci-dessous  (à 5 € pièce). D’habitude il n’y a que des vieilleries toutes écaillées…

 

Italie

ABARTH 750 record Monza de 1958

Metro – collection Abarth, n° 06

Mini, mini, tout est mini sur cette 750. Et pourtant elle a tout d’une grande ! Lignes, volumes et livrée sont en effet réalistes. Malgré sa petite taille, nous trouvons deux essuie-glaces en charge de son pare-brise. Mais aussi deux optiques principales sous bulle et des clignotants avant rapportés en plastique translucide. Le tout encadre un motif de capot chromé arborant l’écusson au scorpion. Deux éléments de pare-chocs parfont l’équipement de la proue. Les roues sont bien proportionnées et équipées de pneus très étroits pour représenter les montes de l’époque. La poupe, très bombée est équipée d’un capot moteur à fort bossage faisant office de prise d’air. Ici aussi, les feux arrière, bien colorés, sont rapportés et surplombent les deux éléments du pare-chocs arrière. A noter que le carter moteur arbore le monogramme Abarth, visible sous le bas de la jupe arrière. Le mobilier intérieur, tout en noir et très simple, est bien reproduit. Il y a même les cadrans sur le tableau de bord, derrière un volant sport à trois branches. Le soubassement est détaillé.

 

Roumanie

 

GAZ 12 ZIM de 1950

Ixo/DeAgostini – collection roumaine Legendary Cars Collection, n° 36

Cette imposante limousine officielle nous est correctement proposée dans un bon respect des lignes, volumes et coloris de l’original. Sa gravure est honnête, tout comme sa présentation. A commencer par les deux petits essuie-glaces antagonistes qui ont la charge des deux éléments du pare-brise. La large grille de calandre est chromée et surmontée de l’écusson de la marque. Le capot moteur arbore un long motif décoratif rouge et deux cartouches indiquant la marque. Les optiques principales circulaires ont un enjoliveur chromé alors que les optiques additionnelles sont métalliques. Le dessin des roues est basique. Les feux arrière sont métalliques et peints en rouge. Le motif ornemental du couvercle de coffre et sa poignée d’ouverture sont rapportés et chromés.  Le mobilier intérieur, tout noir, est peu visible.  Le soubassement est un peu détaillé.

 

GAZ M24 Volga de 1967

Ixo/DeAgostini – collection roumaine Legendary Cars Collection, n° 42

Comme la 12 ZIM, cette berline Volga nous est correctement proposée dans un bon respect des lignes, volumes et coloris de l’original. Sa gravure est honnête, tout comme sa présentation. A commencer par les deux essuie-glaces antagonistes en charge du pare-brise. La large grille de calandre, en fanons, est chromée et affiche en son milieu l’écusson de la marque. Le monogramme du modèle est présent sur chacune des ailes avant. Les optiques principales circulaires ont un enjoliveur chromé alors que les veilleuses ne sont que peintes en blanc et les clignotants sont métalliques et peints en orange. Le dessin des roues est basique. Il y a des bavettes à l’arrière.  Les feux arrière sont rapportés, en plastique et  correctement colorés.  Le mobilier intérieur, tout noir, est peu visible.  Le soubassement est un peu détaillé.

 

DACIA 1300 break de 1973

Ixo/DeAgostini – collection roumaine Legendary Cars Collection, n° 29

Que vient faire ce break R12 ici ? Que nenni ! Que nenni ! Il s’agit en fait de son cousin germain, pardon roumain, le Dacia 1300 qui ne s’en distingue extérieurement que par son petit motif de calandre et le monogramme Dacia fixé sur le hayon arrière. Pour le reste, c’est bien la carrosserie du break R12 que l’on a sous les yeux. Lignes et volumes sont fidèles, tout comme cette livrée bleue. La face avant est très réussie (malgré un assemblage bancal sur cet exemplaire) avec une grille de calandre très détaillée encadrée par deux optiques ovales rapportées. Par contre, les ensembles veilleuses-clignotants ne sont que gravés et peints en-dessous. La lame des pare-chocs, avant et arrière, est bien dotée de butoirs en caoutchouc noir. Bien qu’assez peu mis en relief, le dessin des voiles de roues est exact. Les vitrages latéraux sont du type affleurant. A l’arrière, les blocs des feux verticaux sont rapportés, en plastique, mais uniquement rouges. Le mobilier intérieur est entièrement noir et correctement représenté. Le soubassement n’est pas détaillé.

Sauf erreur de ma part, Ixo ne semble pas nous avoir proposé ce break sous le label Renault, que ce soit dans une collection presse, soit en version boutiques. Dommage…

 

BONUS

 

Entre-nous

 

D'autres modèles à venir (suite et fin)

 
 

 

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12 décembre 2015 6 12 /12 /décembre /2015 20:27
 
n° 47/492 du 14 décembre 2015

Modèles presse

LAMBORGHINI Countach 25ème Anniversaire de 1988

Ixo/Hachette/AutoPlus – collection Lamborghini, n° 29

 

Cette version 25ème anniversaire (de la marque) ne reprend pas le moule de la Countach « de série » proposée en son temps (*) sous le n° 04 de la collection des Voitures de rêves. Pourtant leurs lignes et volumes principaux sont identiques. Malgré cela tous les composants sont nouveaux à commencer par l’unique essuie-glace en charge de balayer l’immense pare-brise. La gravure  assez fine pour être réaliste. D’autant qu’elle est mise en valeur par une peinture métallisée très fine et aux grains microscopiques. Même les voiles des roues sont inédits. Les nombreuses prises et sorties d’air sont creusées et noircies. Le capot moteur est doté d’un bossage volumineux qui cache en partie la petite lunette arrière. Les feux arrière sont en plastique et correctement colorés. Ils surplombent quatre belles sorties d’échappement encadrant l’extracteur d’air. Mais j’ai une question à poser au graveur de ce modèle : comment se fait-il que la croix qui habille le panneau arrière, en creux sur l’original, se retrouve en relief sur cette miniature ? A l’intérieur, même le mobilier est différent avec une planche de bord noire avec volant à branches épaisses. Le mobilier est gris clair. Le soubassement est détaillé.

_(*) Avant la création de Collec’hebdo 43, c’est dire !

 

Presse brésilienne

 

RENAULT 1093 de 1964

Ixo/Altaya - collection brésilienne Carros inesquecives do Brasil, n° 87

Dans le n° 03/403 du 29 avril 2013 de l’alors CH43 Mag, je vous ai présenté la WILLYS Gordini II de 1965, qui était le n° 17 de cette même collection brésilienne. Voici aujourd’hui sa devancière, la 1093. Construite elle-aussi sous licence au Brésil, cette « Dauphine » lui emprunte moule et accessoires. Ou la manière élégante de proposer deux modèles différents avec les mêmes composants. Nous retrouvons donc un moule très fidèle aux lignes et volumes de la vraie, bien différent de celui que l’on a connu en son temps dans la collection des Voitures d’antan (n°31) ou plus récemment dans celle des Voitures de mon père. Les grosses optiques, de type US, sont serties de chrome. Les pare-chocs de la Dauphine française sont complétés par des éléments tubulaires bien dessinés et assez fins pour être réalistes. Le dessin des jantes ajourées est correct. Par contre, les pneus sont trop larges. Et il est regrettable que cette version n’ait pas été équipée d’enjoliveurs de roues comme l’était cette 1093. Le monogramme 1093 est placé sur les ailes avant, au-dessus d’une très fine baguette chromée courant sur toute la longueur de la voiture. Les feux arrière sont métalliques et peints. La plaque d’immatriculation est enfin dotée d’un système d’éclairage. Ici placé au-dessus d’elle. Le capot moteur affiche le monogramme Renault 1093. Le mobilier intérieur est entièrement noir et peu visible. Le soubassement est détaillé.

 

SIMCA Rallye de 1962

Ixo/Altaya - collection brésilienne Carros inesquecives do Brasil, n° 88

Dans ce même numéro n° 03/403 du 29 avril 2013 de l’alors CH43 Mag, je vous ai également présenté la Simca (do Brasil) Chambord de 1962, n° 07 de cette même collection. Aujourd’hui voici la Rallye, reconnaissable à ses deux prises d’air circulaires sur l’avant du capot moteur et à sa décoration latérale sur les ailes arrière. Dans cette livrée rouge et ivoire, cette Rallye reprend le moule corrigé de la Chambord brésilienne proposée en son temps dans la collection dédiée aux Simca, n° 54 (cf. le n° 185 de Collec’Hebdo 43, daté du 23 février 2009) et utilisé par le n° 07 de cette collection. Merci pour cette nouvelle version mais il eut été possible de proposer sur le marché brésilien une version ultérieure, plus originale et uniquement produite là-bas. Celle à pavillon modifié, plus linéaire. Comme ses devancières, cette Rallye reste malgré tout pas trop désagréable à regarder de trois quarts avant car elle jouit d’une belle calandre. Mais pour le reste, ce n’est encore et toujours qu’approximation. Avec des ailes avant qui montent vers les phares, une interprétation du dessin des vitres arrière et une lunette arrière trop basse et à la partie supérieure manquant de courbe. Et je ne parle pas du respect de l’échelle assez éloignée du 1/43ème. Par contre les roues sont bien à rayon. Elles ont perdu leur brillant et leurs pneus à flanc blanc (*). Version haut de gamme oblige, l’encadrement des vitrages latéraux, du pare-brise et de la lunette arrière, est entièrement chromé. L’arrière est honnête mais reçoit des feux métalliques que j’exècre toujours autant, et ici, entièrement rouges. La sortie d’échappement est accessoirisée et un peu trop longue. Le pavillon est correctement moulé. Malgré tout, ici l’habitacle reprend le mobilier basique de la Chambord. Avec une large banquette à l’avant, sans aucune couture sur l’assise et le dossier ! Mais aussi sans les deux dossiers séparés et inclinables. Cela est peu visible, vu que ledit mobilier et tout l’intérieur est noir. Vraiment dommage ! Ce n’est d’ailleurs pas le seul oubli. Il y a aussi celui des caches moyeux à trois branches sur les roues. Le soubassement n’est pas détaillé.

 

_(*) Les pneus à flanc blanc dont est dotée ma Rallye ont été prélevés sur une Chambord (do Brasil) de la collection Simca.

 

BONUS

par abonnements

 
 
 
 
 
Entre nous
Ce Dimanche j'ai reçu un mail dont j'évoquerai la teneur dans le prochain numéro de QUINZO43. A ce mail étaient jointes les photos de modèles à venir dans les collections des Autobus et autocars du monde et des Véhicules publicitaires. Photos de petite taille...
 

 

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