Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
5 août 2015 3 05 /08 /août /2015 08:47
 
n° 38/483 du 10 août 2015

10 ans déjà…

 

Que le temps passe vite ! C’était pourtant  le 11 août 2005 que je publiais ma première photo dans ce qui s’appelait alors Collec’Hebdo 43. C’était celle d’une Facel-Vega HK500 que voici à nouveau.

 
Et le premier modèle presse à vous être présenté fut le break Marly de Norev de la collection des « Voitures françaises » déjà proposée par Hachette.
 

C’est pour moi l’occasion de vous parler de ce qui nous attend dans les douze mois à venir. Il y a aura pour tous le monde et tous les goûts. A commencer par les amateurs de modèles au 1/8 avec la Traction 11BL à assembler, dès ce mois-ci. Puis pour les adeptes du 1/43 la sortie automnale des Véhicules publicitaires.

 

Pourraient suivre les Voitures américaines, les engins de travaux publics…

 

Il y en  aurait aussi  pour les passionnés d’aviation et/ou de motos…

 

Ce, sans parler de ce qui est encore sous le coude et qui se révèlerait fort intéressant si cela sortait…

 

Donc encore de belles pages à écrire… et cap vers un n° 500 de CH43 !!!

 

A suivre…

 

 

Mais revenons sur ces dix ans passés ensemble pour faire une sorte de bilan.

 

Ainsi, vous avez pu découvrir les 2598 modèles que je vous ai présentés au fil des 482 numéros de CH43 parus au cours de ces 10 ans, sans compter ceux seulement photographiés.

 

 Parmi ceux-ci, il y eut quelques modèles, disons « exotiques » de par leur interprétation des lignes et volumes des modèles réels. L’époque des débuts d’Ixo. Pourtant le modèle le plus raté fut cette Versailles badgée Nostalgie

 
Pourtant, le plus réussi à mes yeux fut un modèle produit par Ixo, le break Marly de la collection Simca.
 
Le plus original freste sans doute l’éclaté de la Renault 4L proposé par M6 Interactions.
 
Et pour moi, la possibilité de compter dans ma collection personnelle, la réplique de la voiture paternelle sur laquelle j’ai appris à conduire.
 
Sans parler de quelques modèles non commercialisés comme cette Simca 1000 Spécial.
 

Cependant, outre les modèles presse, les modèles boutiques n’ont pas été en reste malgré l’envol de leurs prix.

Pour un amateur d’ouvrants, les modèles autraliens proposés sur les labels Trax et Biante restent les plus représentatifs, comme cette Ford Falcon XY à roues avant orientables à partir du volant.

 

Vous retrouverez les rubriques habituelles dans 15 jours.

 

Et grand MERCI d’être restés fidèles lecteurs de CH43, en espérant pouvoir continuer encore longtemps.
 

 

Partager cet article
Repost0
Published by Trebor Yles
21 juillet 2015 2 21 /07 /juillet /2015 13:48
 
n°  37/482 du 20 juillet 2015

Modèles presse

Comme quoi avoir du retard – que je vous demanderais de bien vouloir m’excuser - peut faire gagner du temps. Car ce mardi 21 juillet j’ai reçu  des précisions au sujet du

 

HOTCHKISS DH60 fourgon Interflora

Eligor – réf. 101536

 

Je voudrais remercier ici Eligor qui m’a répondu ceci :

 

Bonjour Monsieur,

Suite à votre email, je vous informe qu’effectivement, la cabine de ce modèle n’est pas basculante comme cela est noté et nous en sommes désolés.

Ce BAT a été validé par la société INTERFLORA.

Il aurait pu être agrémenté de plus de signalisation, nous le notons pour nos prochaines fabrications.

Si vous avez besoin de plus amples renseignements, n’hésitez pas à me contacter.

 

Sincères Salutations

 

Un numéro un peu particulier puisqu’il regroupe les modèles de deux quinzaines successives et qu’un opus se termine avec la fin de la collection des Camions d’autrefois dont le dernier numéro vient de sortir. Qui aurait pensé il y a dix ans qu’un jour l’on pourrait trouver des camions au 1/43ème, et ce pour moins de 20 € l’unité ? Début août se sera au tour des Semi-remorques d’exception de prendre le relai. Bonne route à ceux-ci.

 

BERLIET Cruisair 3 de 1969

Ixo/Hachette – collection des Autobus et autocars du monde, n° 15

Bien que bénéficiant d’un abonnement à cette collection (1) je n’ai pu résister à son achat en vue de pouvoir vous le présenter en temps et en heure cet autocar français. Ce d’autant qu’il s’avère bien reproduit malgré une garde au sol que je trouve trop basse. Les amateurs de transformation corrigeront certainement cela très facilement si nécessaire. Je ne suis pas parvenu à dater exactement le millésime reproduit de cette version Grand-Luxe de 44 places. Une question toutefois, comment ouvre-t-on de l’extérieur la portière arrière, dite de secours ? vu qu’elle est dépourvue de toute représentation de poignée…

 

FIAT 643 N

Ixo/Altya – collection des Camions d’autrefois, n° 134

Alors qu’Altya annonce le lancement de la collection des Semi-remorques d’exception pour le début du mois prochain, voici l’avant dernier modèle de la collection des Camions d’autrefois. Modèle qui n’apporte rien de neuf à celle-ci puisque cabine et fourgon sont du déjà vus. L’ensemble reste plaisant à regarder dans une livrée des plus simples. Du déjà vu ai-je écrit…

 

BERNARD 6R de 1957

Ixo/Altaya – collection des Camions d’autrefois, n° 135 et dernier

Et de quatre ! Après le fourgon des transports Mazet (n° 09)  et les citernes aux couleurs de Caltex (n° 80)  et d’un négociant en vins (n° 111) , voici maintenant un plateau à ridelles pour terminer cette collection. Nous retrouvons la magnifique grille de radiateur finement gravée et traversée par la marque Bernard bien dessinée. Outres les phares rapportés nous retrouvons aussi les rampes de maintien que l’on trouvait fréquemment sur ce camion. De plus les ailes du capot moteur s’ornent toujours du très petit monogramme « Camions Bernard ». La cabine  contient un mobilier entièrement gris qui, outre le poste de conduite, comporte une banquette deux places à côté du siège conducteur. Le plateau ouvert me parait très étroit. Le soubassement est dans les standards de la collection. 

 

HOTCHKISS Jeep M201 de1956

Ixo/Altaya – collection des Voitures françaises d’autrefois, n° 88

Pour cet antépénultième modèle de cette collection nous aurions pu espérer de l’inédit, ou du moins, une variante originale. Et bien non, nous devrons nous contenter d’une énième déclinaison d’une Jeep.  Passez, il n’y a rien à voir une fois de plus… Il est vraiment temps que cette collection s’efface pour laisser la place à une autre. Ce d’autant que les deux derniers modèles seront, eux aussi, des reprises : Talbot Lago SS Faux Cabriolet - 1935 - (Figoni & Falaschi) et Simca Présidence – 1957 (cette dernière au moule très approximatif, vu ce qui nous fut proposé dans la collection Simca)

 

LAMBORGHINI Countach QVX

Ixo/Hachette/AutoPlus – collection Lamborghini, n° 18

Est-ce les effets de la chaleur, toujours est-il que cette Countach a de plus en plus un air de déjà vu pour moi que je n’arrive pas à concrétiser au sein de ma collection. Toujours est-il que ce type de modèle n’est pas ma tasse de thé. Je passerai donc sur sa description approfondie malgré ses belles jantes et son aménagement intérieur.

 

LAMBORGHINI  Diablo VT-R Roadster Trofeo de 1997

Leo Models pour Ixo/Hachette/AutoPlus – collection Lamborghini, n° 19

Au premier « (r)abord » l’on pourrait penser que le traitement des optiques avant soit bâclé. Mais en réalité, il n’en est rien, puisque la voiture originale en était bien dépourvue et n’arborait que ces coques noires à leurs places. Pour le reste, lignes volumes et décoration sont réalistes. Et profitons que l’on soit à nouveau en présence d’un modèle signé Leo models pour découvrir les disques de freins avec leur étrier rouge derrière les belles jantes étoilées. Il y a bien la double sortie d’échappement à l’arrière mais pas l’anneau de remorquage. Le mobilier intérieur se limite à un seul siège baquet avec harnais. Dommage que le volant soit placé si bas. Le soubassement n’est pas détaillé.

 

 

Partager cet article
Repost0
Published by Trebor Yles
4 juillet 2015 6 04 /07 /juillet /2015 12:40
 
n° 36/481 du 06 juillet 2015

Modèles boutiques

HOTCHKISS DH60 fourgon Interflora

Eligor – réf. 101536

Très séduisant vu de loin, ce petit camion surprend quelque peu vu de près. Je m’explique… Si  le respect des lignes, volumes et livrée est bien présent, la présentation de cet utilitaire nous ramène de nombreuses années en arrière. A l’époque de la reprise des moules plastique de Norev. En effet, hormis les très fins essuie-glaces photodécoupés, le reste des accessoires est très grossièrement représenté. A titre d’exemples, les feux latéraux simplement gravés ; les clignotants avant seulement peints en orange ; ou encore les phares, simples pièces argentées rapportées. Nous sommes bien loin du rendu des modèles presse que nous connaissons aujourd’hui ! Et que penser de l’arrière du fourgon dépourvu de toute représentation de sa signalisation lumineuse. Je sais, je ne suis pas tendre avec ce modèle. Mais que voulez-vous, à côté du Scania présenté dans le dernier numéro de QUINZO43, il n’y a pas photo comme l’on dit de nos jours. Pourtant ce petit camion ne démérite pas pour autant. Et ce, en raison de sa décoration régionale réussie. C’est vrai qu’Eligor est du coin. La cabine est équipée de trois rétroviseurs extérieurs : un à gauche et deux à droite, dont un horizontal. Ce qui est très rare pour être signalé. Son mobilier intérieur est entièrement noir. Il se compose du siège conducteur et d’une banquette biplace à cheval sur le coffrage du moteur. Cabine qui serait basculante suivant le boitage… Le châssis est classique et la mécanique représentée en 3D. Ce qui justifierait ledit basculement.

 

JEEP Wrangler Unlimited (Polar Edition) de 2014

Greenlight – réf. GL307

Après sa version 2 portes (cf. le n° 346 de l’alors CH43, daté du 26 mars 2012), voici aujourd’hui sa version 4 portes. Tout aussi bien représentée.

Fidèle à sa politique tarifaire, cette marque américaine nous propose un e autre version de la Wrangler, à un prix toujours inférieur à 20 euros. Et pourtant, pour ce prix « réduit » par les temps qui courent, nous nous trouvons devant une bonne reproduction de la nouvelle Wrangler Unlimited en version fermée. Toutefois, celui qui sera observateur remarquera, une fois encore, qu’il est possible de la présenter découverte car le pavillon tôlé est amovible. Et oui ! Et une fois déposé, il est permis de découvrir la structure métallique faisant fonction d’arceau-cage de sécurité. Le tout dans un bon respect des lignes, volumes et coloris de l’original dans cette livrée bleu métallisé. De plus, la gravure est de bonne facture. Pourtant certaines économies ont été consenties avec notamment la gravure des essuie-glaces sur la plage, à la base du pare-brise ou le traitement des clignotants avant qui ne sont que dessinés. Il y a un subtil mariage du métal et du plastique utilisé pour la reproduction des marchepieds. Les jantes en étoiles sont fidèles mais ne laissent voir aucune reproduction des disques de freins (absents). Les différents monogrammes sont bien présents. Les rétroviseurs extérieurs sont dotés de miroirs. A l’arrière, les feux sont correctement colorés. Il y a même la roue de secours fixée sur son armature et surmontée du troisième feu stop. L’habitacle reçoit un mobilier entièrement noir mais correctement gravé. Le tableau de bord affiche ses cadrans et le couloir de servitude les différents leviers de ce 4x4. Le volant, possède le logo Jeep en son centre. La gravure du soubassement permet de vérifier que l’on est bien en présence d’une voiture à transmission intégrale.

 

RENAULT  Kangoo de la DIR Massif Central

Norev – réf. 511314

Dans le n° 14 de l’alors Collec’Hebdo 43, daté du 11 novembre 2005 je proposais un échantillonnage de 12 Kangoo dont un aux couleurs de la DDE d’alors de Charente Maritime. C’est le même moule qui vous est présenté avec ce Kangoo de la Direction Interdépartementales des Routes nationales du Massif Central.  Lignes, volumes et livrée sont fidèlement restitués. Ils bénéficient d’une très bonne finition et présentation. Avec de nombreuses pièces rapportées en plastique, correctement colorées pour reproduire les éléments de sa signalisation lumineuse avant et arrière. Le dessin des roues diffère cependant par l’absence de tout enjoliveur. Curieusement ce modèle est moins lourd que son ainé. Ce, malgré un second gyrophare et la présence d’un panneau de chantier relevable. Les deux sièges constituant le mobilier de l’habitacle sont uniquement noirs. Par contre, la planche de bord est toujours grise avec un très beau tableau de bord coloré.  Le soubassement n’est pas détaillé.

 

RENAULT  Kadjar  de 2015

Norev – réf.77 11 578 441 (boitage Renault)

Bon d’accord, j’ai déjà sous les yeux le nouveau crossover de Renault. Le Kadjar, mais plus sous la forme d’un jouet que d’une « vraie » miniature. En cause, la finition de type low cost  que ce réducteur semble se complaire à utiliser pour reproduire les nouveaux modèles de Renault. Et certainement avec l’assentiment de ce dernier. Mais nous devons nous contenter une nouvelle fois de « roues boutons » à bande de roulement lisse et de rétroviseurs extérieurs dépourvus de miroirs. Et il n’y a même pas de rétroviseur intérieur. Pourtant le recours à une caméra n’est pas encore autorisé me semble-t-il  pour le remplacer. Les lignes de l’original sont bien présentes, mais sans originalité. Le mobilier intérieur, entièrement noir, est correctement détaillé et visible à travers un toit vitré. Le soubassement est détaillé.

 

Vous retrouverez les modèles presses parus cette dernière quinzaine dans le prochain numéro.

 

 

Partager cet article
Repost0
Published by Trebor Yles
20 juin 2015 6 20 /06 /juin /2015 12:27
 
n° 35/480 du 22 juin 2015

Modèles presse

BUGATTI 41 Royale roadster Esders (1927)

Ixo/Altaya – collection des Voitures françaises d’autrefois, n° 86

Vraiment du réchauffé.
 

LAMBORGHINI 350GT de 1964

Ixo/Hachette/AutoPlus – collection Lamborghini, n° 17

Qu’elle est belle cette 350GT ! Mais que diable, pourquoi l’avoir affublée d’un loup ? En effet, quelle idée que d’avoir ajouté ses entourages noirs autour des surfaces vitrées alors que sur l’original c’était le rôle des chromes ! Jusqu’à présent la 350 GT n’était représentée dans ma collection que par le Politoys bleue que l’on voit en arrière plan et qui résiste encore bien à la comparaison malgré son âge. Mais revenons à cette nouveauté. Lignes et volumes sont très bien restitués et bénéficient d’un bon niveau de présentation et finition. A commencer par son unique essuie-glace, assez fin pour être réaliste. Je trouve que le travail de gravure de l’avant est soigné et restitue de belle façon les plis et replis de la carrosserie. Bravo ! Et malgré cela, les petits clignotants avant sont bel et bien présents, en plastique translucide et rapportés, en dessous des optiques ovales. Les petits éléments des pare-chocs sont correctement représentés. Le dessin des roues fils est peut être correct mais il souffre d’un diamètre trop petit. Les pneus sont, à l’inverse, trop épais et trop larges.  Il y a bien les deux trappes à carburant à la base des panneaux de custode. La poupe est tout aussi bien restituée quant à ses volumes tout en courbes. Les feux arrière sont eux aussi rapportés et correctement colorés. Les quatre sorties d’échappement sont présentes. Le mobilier intérieur, bien détaillé, est noir. Mais il faut regarder la planche de bord qui arbore nombre de cadrans et un joli volant sport. Le soubassement est détaillé. Un beau modèle comme j’aimerai en voir encore.

 

SCANIA 140 de 1970

Ixo/Altaya – collection des Camions d’autrefois, n° 133

Beau comme un camion !!!  C’est vrai que cette citerne ne laisse pas le collectionneur indifférent de par cette livrée brune, tirant sur l’orange. Et puis ses roues alu aux moyeux peints carrosserie, cela donne un certain cachet à ce camion. Pour ne pas dire un cachet certain. Bon, d’accord, la cabine a déjà était vue deux fois dans cette même collection sous les n° 12 (fourgon Interflora) et 61 (Transporteur néerlandais). Elle reste cependant toujours aussi réussie, avec ses sièges gris et sa mini couchette. Dommage que pour un transport de produits pétroliers la sortie de l’échappement soit encore latérale et non sous la cabine. Mais bon, je pense qu’il devrait y avoir un autre sujet de discussion avec ce camion. Car, si je ne me trompe pas, c’est bien une citerne inédite qui l’équipe. Et je n’ai vu aucun commentaire à ce sujet sur FA de la part des « transformateurs ». Je vais donc faire part de mes observations. Pour moi c’est bien la première fois que je vois un tel assemblage d’éléments constitutifs de cette citerne. Passons sur la cuve elle-même qui me parait plus ou moins standard. L’ensemble composé par les trous d’homme, l’échelle et la passerelle semble inédit. Tout comme les rives latérales qui ont perdu leur rebord qui dissimulait les tuyaux qu’elles contenaient sur les citernes précédentes.  Bravo pour cette nouveauté, qui se retrouvera certainement dans une autre collection.  La barre anti-encastrement reçoit les feux arrière rapportés et correctement colorés. Le châssis est classique, avec roue de secours, coffres et réservoirs.

 

Ajout du 24 juin 2015

 

SIMCA Aronde Monaco de 1962

Ixo/Altaya – collection des Voitures françaises d’autrefois, n° 87

 

C’est un fait – très regrettable -, mais c’est un fait, SIMCA est bel et bien une marque française disparue. Ce qui nous permet de compléter la collection éponyme, dédiée à Simca… Comme c’est le cas encore avec cette Monaco bicolore. Dommage cependant que, comme il y a peu pour une Samba, le choix des coloris de sa livrée ne soit pas issu du nuancier de la marque.

 

Malgré cela, cette Monaco reste un bon modèle en raison du respect des lignes et volumes, puisqu’il reprend le moule  gris métallisé de la Monaco Spéciale fort réussie (n° 32 de la collection Simca, cf. le n° 140 de l’alors Collec’Hebdo, daté du 14 avril 2008). Tout est réussi sur cette voiture. Avec, de face, des essuie-glaces correctement  positionnés et le monogramme SIMCA bien présent et correctement placé à l’avant du capot. Il en va de même pour celui placé sur le coffre arrière, sous la serrure du coffre. Admirez la très belle calandre donnant l’illusion d’en voir une vraie avec son V inversé et les optiques toujours aussi sublimes. Quel travail pour en arriver là. Magnifique. Le profil est très réussi même s’il manque l’hirondelle stylisée sur le bouchon du réservoir et le monogramme Monaco sur l’aile arrière droite. Les roues sont réalistes. A noter, à ce sujet, que j’ai mis les pneus à flanc blancs d’une Monaco spéciale. Pour ma part j’aurais bien vu le côté droit avec la vitre arrière montée en entier ou à moitié pour montrer sa présence. Et pourquoi, toujours de ce côté droit, avoir voulu représenter une serrure sur la portière par un point alu, alors qu’il n’y en avait pas sur la vraie ? Très jolis feux arrière – où il manque néanmoins un fin trait de chrome pour en séparer les composants. Et sortie d’échappement accessoirisée. L’intérieur aurait mérité un rétroviseur peint pour rester dans la note d’une finition soignée. Ce d’autant que la planche de bord est hyper détaillée. Ce qui n’était pas le cas pour l’Elysée corail. Il bénéficie d’un mobilier très soigné et fidèle. Beau volant à la colonne de direction bien reproduite. Le soubassement très bien détaillé semble repris à la version boutique. Il y a cependant une erreur dans cet intérieur. En effet, et même si la décoration des contreportes est différente de celle des modèles à quatre portières : Elysée et Montlhéry, il y a une poignée de portière incongrue de chaque côté à l’arrière !!! Le soubassement est détaillé en relief. Un bon modèle, bravo !

 

Nous manque toujours les versions 1959 avec large flèche sur les flancs et clignotants avant horizontaux, Monaco et Grand Large, s’il vous plait.

Modèles boutiques

 

 

CITROËN  DS DS5 de 2015

Norev – réf. 155587

Alors que la gamme DS s’émancipe de la marque Citroën pour devenir la marque premium DS, voici sa première représentation au 1/43ème avec cette DS5. Outre une nouvelle face avant, il y a très peu de modifications esthétiques. Si ce n’est de nouveaux monogrammes photodécoupés et disposés différemment. Bien entendu Norev a correctement reproduit ces modifications dans cette version So Chic. Notamment avec cette livrée blanc nacrée dotée d’une belle grille de calandre flottante entourée de chromes. Les blocs optiques avant sont réalistes. C’est assez rare pour ne pas être souligné.  Les jantes Adélaïde de 18 pouces sont bien restituées et laissent découvrir les disques de frein avec leurs étriers. Les deux sorties d’échappement ovales sont chromées. A l’intérieur, à part un mobilier lie de vin, je ne vois pas de grande différence avec celui de la première version, présentée dans le n° 341 de l’alors CH43, daté du 20 février 2012 et présente sur les photos ci-dessous. Le soubassement, de type à fond plat, est détaillé. Il possède même une ligne d’échappement rapportée.

 

 

Partager cet article
Repost0
Published by Trebor Yles
6 juin 2015 6 06 /06 /juin /2015 14:00
 
n° 34/479 du 08 juin 2015

Modèles presse

CITROËN 480 (*) « Belphégor » de 1969

Ixo/Altaya – collection des Camions d’autrefois, n° 132

_ (*) Et non un 350 comme annoncé. Ce qui s’explique par la présence de grandes roues (voir plus après)

Encore un que l’on devrait déclasser dans la collection des camionnettes d’autrefois, tant il est petit. Pourtant il est très agréable à regarder, tant pour sa livrée que pour le niveau de sa finition. D’autant qu’il est équipé de roues de plus grand diamètre que celles équipent le 350N aux couleurs de la Messagerie 75 Express (n° 50 de la collection des camionnettes d’autrefois, cf. le n° 79 de l’alors Collec’Hebdo 43, daté du 12 février 2007 ) mais identiques à celles du Belphégor de la collection Michelin (n°20, cf. le n° 64 de l’alors Collec’Hebdo 43, daté du 30 octobre 2006).

 Si l’on retrouve avec plaisir la célèbre cabine de ce camion, ce plaisir est, une nouvelle fois, contrarié par le fait que les baies vitrées inférieures encadrant la calandre, bien que rapportées et en plastique transparent, sont obstruées par des plaques noires. Mais l’ensemble reste séduisant avec ses belles roues aux dessins réalistes et la bonne gravure de la cabine et du caisson isotherme. Par contre je trouve que la barre anti-encastrement trop basse. Mais ce n’est que mon point de vue. L’intérieur, bien que noir, laisse apercevoir  deux sièges marrons et un habitable traversé par un levier de vitesse du type « queue de vache » au dessus du coffrage du moteur.  Le châssis est standard.

 

LAMBORGHINI Murciélago LP650-4 Roadster de 2009

Ixo (*) /Hachette/AutoPlus – collection Lamborghini, n° 16

Il faut croire que je n’ai pas la fibre futuriste car ce nouvel opus de la collection Lamborghini me laisse totalement froid. Et ce n’est pas sa livrée gris foncé et orange qui arrangera les choses. Toujours est-il que les lignes tendues de l’original sont bien restituées, en position arrêté. En effet, les prises d’air latérales, derrière l’habitacle, sont proposées en position abaissées, c'est-à-dire fermées. En position ouvertes, elles auraient pivoté vers l’extérieur pour suivre l’inclinaison des montants du pare-brise très incliné. La gravure est très fine. Les nombreux monogrammes orange, présents sur le pourtour de la carrosserie sont bien présents et placés correctement. Le dessin des jantes est très réaliste. Mais il  manque l’écusson de la marque en leur centre. A noter que les disques de frein ventilés sont dépourvus d’étrier. L’arrière, trapu, affiche deux gros blocs de feux arrière entièrement rouges. Une grosse sortie d’échappement chromée débouche au dessus d’un large diffuseur d’air. Le capot moteur est vitré. Ce qui permet de découvrir le dessus du bloc moteur, représenté en quasi 3D. Le mobilier est entièrement noir. A l’exception de trois touches d’orange pour les palettes au volant et sur le tunnel de servitude. Le pédalier suspendu est présent. A noter la position du frein à main, placé à gauche du conducteur, entre son siège et sa portière. Le soubassement, de type à fond plat, est détaillé.

_(*) La finition de ce modèle s’apparente plus à une fabrication Leo Models qu’à celle d’Ixo

 

Par abonnement

 

Les sapeurs-Pompiers de l’Ain à l’honneur cette fois-ci : Feillens et Oyonnax
 
 

Modèles dérivés d’un modèle presse 

 

 

 

 

SIMCA Aronde Grand-Large de 1956

Ixo via WhiteBox – réf. WB111

Important : Ne vous fiez pas à mes photos car j’ai procédé à un échange de soubassements avec une Elysée Océane P60 pour récupérer des roues plus réalistes car le modèle proposé n’est équipé d’origine  que d’enjoliveur chromés et non d’enjoliveurs frappés du S Simca dans un cercle central rouge.

En fait nous retrouvons le moule ayant servi au n° 01 de la collection Route bleue (cf. le n° 155 de l’alors Collec’Hebdo 43, daté du 28 juillet 2008). Lui-même dérivé du premier modèle de la collection Simca, le coach Rue de la Paix. Version plus luxueuse du coach Grand-Large.

Lignes et volumes sont toujours au rendez-vous malgré l’absence de continuité des ailes avant avec les visières de phares. Malgré tout la face avant est toujours  fort réussie. Même s’il est difficile de distinguer les clignotants avant.  De profil, notez le retour du monogramme Grand-Large sur l’aile avant droite. Mais toujours pas de S sur le bouchon du réservoir d’essence, seulement peint couleur carrosserie. Par la présence de jantes des plus banales et non personnalisées m’a conduit à les remplacer par d’autres. Celles-ci s’avèreront un peu plus réalistes. Mais pourquoi avoir persisté à mettre une serrure sur la portière droite ! A l’époque, seule celle du conducteur en était pourvue. Dommage encore que les catadioptres n’aient pas fait l’objet d’un point de couleur rouge. A vos pinceaux. L’intérieur a fait l’objet d’un soin particulier : l’exemplaire reçu possède un troisième essuie-glace posé sur la banquette arrière. Il doit manquer à un autre, non ? ! Comme sur la Rue de la Paix on a longtemps l’illusion qu’à l’avant  il y a une banquette, mais en y regardant de plus près il y a bien deux sièges séparés. Mais à la séparation très discrète. Le soubassement est un peu détaillé à l’arrière avec la sortie d’échappement.

 

 

Partager cet article
Repost0
Published by Trebor Yles
23 mai 2015 6 23 /05 /mai /2015 12:58
 
n° 33/478 du 25 mai 2015

Modèles presse

LAMBORGHINI Marzal TP200 de 1967

Ixo/Hachette/AutoPlus – collection Lamborghini, n° 15

Jusqu’à présent ce prototype aux lignes originales n’était présent dans ma collection que par la représentation proposée en son temps par la Politoys export – réf. 568 dotée de portes relevables dépourvues de vitrages. Aujourd’hui, le voici revisité de très belle manière par Ixo sous une livrée blanche, pas trop épaisse. Ce qui permet de voir la gravure des différents éléments de sa carrosserie signée Bertone. Il dispose de très vastes surfaces vitrées qui permettent de découvrir son mobilier intérieur argenté. La face avant intègre bien les six optiques de l’original. Ça m’évoque la SM de Citroën… Le dessin des roues alliage est bien reproduit. Dommage que les portières ne soient pas relevables. Comme cela fut le cas par le passé. Voir plus avant dans mes propos. Si le capot moteur arrière est bien doté d’une jalousie ajourée, cette dernière ne laisse pas voir de représentation du moteur transversal, placée en porte à faux arrière. Par contre le panneau arrière reçoit des feux arrière bien colorés et rapportés et les monogrammes et écussons présents sur l’original. La planche de bord est très bien détaillée, avec ses nombreuses alvéoles hexagonales. La console centrale est colorée. Le soubassement, du type à fond plat détaille la partie inférieure de certains éléments mécaniques.

 

PANHARD Junior de 1953

Ixo/Altaya – collection des Voitures françaises d’autrefois, n° 85

 

Et de trois… La passe de trois aura bien eu lieu avec ce troisième opus du petit spider Panhard. Après sa livraison sous une robe corail (n° 30 de la collection des Voitures d’antan. Collec’Hebdo 43 n’existait pas encore !), puis une deuxième, avec une livrée gris métallisé (n° 40 de la collection de la Route bleue, cf. le n° 213 dudit Collec’Hebdo 43, daté du 07 septembre 2009), voici donc la troisième, dans une très voyante livrée jaune canari.  Nous retrouvons donc les lignes et volumes simplissimes de l’original dans une livrée très vive qui bénéficie d’une présentation correcte. La finition de certains détails est soignée au niveau de l’habitacle lie de vin. L’ensemble est de bonne facture avec une grille de calandre rajoutée, mais non noircie. Si les roues, de grand diamètre ont perdu les enjoliveurs frappés du monogramme Panhard en lettres blanches sur fond rouge du modèle de la Route bleue, elles reçoivent un cercle rouge soulignant leur jante. L’arrière arbore toujours les deux petits feux rouges et le bouchon de réservoir – un peu trop proéminent. Le poste de conduite est des plus succinct et le soubassement est peu détaillé.

 

Petit retour en arrière

 

BERNARD 110MA 18 CA6 53 de 1951

Ixo/Direkt Collections – collection Pinder, n° 01

 

Qu’il m’a été difficile d’obtenir ce camion sans me ruiner… Merci à Fred qui me permet de vous le présenter aujourd’hui. Cet imposant camion a enfin trouvé une place dans mes vitrines. Ne serait-ce que pour l’exposition de son contenu. Les deux gros moteurs générateurs d’électricité et de l’immense tableau de contrôle adossé à la cabine. Une très belle pièce. Bravo…

 
Par abonnement
collection Autobus & autocars du monde

 

CITROËN T23R U Chassaing de 1947

Ixo/Hachette – collection Autobus & autocars du monde, n° 11

Quel retour en arrière pour moi que d’avoir entre les mains l’un des premiers autocars que j’ai pu voir dans ma prime enfance depuis la terrasse de la maison à Meyrueis *(48). Je le revois attaquer la côte pour rejoindre l’Aven Armand puis gagner les gorges du Tarn à Ste Enimie, ce après avoir visité les grottes de Dargilan.

_(*) Le garage Malafosse, à l’entrée de Meyrueis (dont il est question dans le fascicule) était adossé directement à la montagne qui constitue toujours son mur du fond.

 
 
 
Que cette collection, aux modèles cosmopolites et originaux, s’avère de plus en plus séduisante au fil des parutions. Qui aurait pensé, il y a presque trois lustres, au lancement des collections presse, qu’un jour l’une d’elle nous proposerait de tels modèles ? Et qu’une autre, des semi-remorques ? Toujours est-il que le School bus et le trolley sont de très belles pièces très détaillées et correctement finies. Notez que le school bus est doté de rétroviseurs extérieurs bombés pour assurer une plus grande vision périphérique. Et qu’en plus de sa roue de secours visible à l’intérieur, il y a aussi, à côté un dévidoir de cable ! Notez aussi que, de son côté,  le trolley possède même le petit guichet du contrôleur près de la montée arrière. Un des nombreux « petits métiers » depuis longtemps disparus. Certes peut-être peu valorisant, mais il faisait vivre un salarié…
 

 

Partager cet article
Repost0
Published by Trebor Yles
14 mai 2015 4 14 /05 /mai /2015 15:28

Je viens de trouver pourquoi les abonnés à ce blog ne recevaient plus de notification de mise en ligne des articles. Je vais tacher d'y remédier pour celui que j'ai mis en ligne cet après-midi. J'espère que cela va fonctionner.

Partager cet article
Repost0
Published by Trebor Yles
14 mai 2015 4 14 /05 /mai /2015 10:54
 
n° 32/477 du 11 mai 2015

Modèles presse

Je vous demanderais de bien vouloir m'excuser pour le retard apporté dans la mise en ligne de ce numéro.
 

BERLIET Stradair

Ixo/Altaya – collection des Camions d’autrefois, n° 130

 

Quel collectionneur d’alors n’a pas regretté de pouvoir s’offrir son ainé, signé Dinky-Toys. D’autant que celui-ci était un des quelques camions produits au 1/43ème. Et que sa benne fonctionnelle était tri-directionnelle, puisqu’elle basculait aussi bien vers l’arrière que sur les deux côtés. Aujourd’hui, avec cette belle reproduction, nous devrons nous contenter d’un relevage vers l’arrière. Ceci dit, ce camion est fort plaisant à regarder malgré sa livrée entièrement jaune canari. La cabine n’en est qu’à sa troisième proposition après avoir été associée à une cellule de déménagement Huet, puis à un aménagement pour transport de chevaux de courses. Elle est toujours fort bien dessinée et est équipée d’un mobilier marron. Le châssis est classique.

 

LAMBORGHINI Gallardo LP570-4 Superleggera de 2010

Ixo (*)/Hachette/AutoPlus – collection Lamborghini, n° 13

Avec quelques retards, voici enfin la suite de la collection Lamborghini avec cette Gallardo Superleggera qui est une évolution du modèle présenté dans le n° 300 de l’alors CH43, daté du 09 mai 2011et réalisé par Kyosho – réf. 03751Y. Elle jouit d’une présentation de très bon niveau. En effet, elle possède une très belle gravure qui met en valeur ses lignes et volumes fidèles. Et ce, malgré une peinture blanche encore assez épaisse, mais qui ne cache aucun pli de tôle. Les essuie-glaces sont assez-fins pour rester réalistes. Tout comme les optiques avant, bien restituées. Ajoutons à cela de très belles jantes alliage aux fins rayons travaillés. A noter qu’elles possèdent en leur centre l’écusson au taureau complet. Et l’on peut voir les disques de frein dotés de leurs étriers. Les différentes entrées d’air sont bien creusées. Les différents monogrammes présents sur l’original se retrouvent sur cette voiture. Les feux arrière sont bien dessinés et rapportés. Si le troisième feu stop est bien présent dans l’épaisseur de l’aileron, il manque la représentation de l’unique feu de brouillard placé au centre du diffuseur d’air arrière. Les quatre sorties d’échappement sont chromées et cylindriques. Le vaste capot moteur vitré laisse voir le dessus de l’ensemble mécanique qu’il renferme. Ce en quasi 3D. Le mobilier intérieur, réduit à deux sièges baquets, est entièrement noir. Il est correctement gravé et affiche les divers cadrans du tableau de bord et de la console centrale. Le soubassement, à fond plat, est peu détaillé.

 

_(*) La finition de ce modèle s’apparente plus à une fabrication Leo Models qu’à celle d’Ixo
 

LAMBORGHINI Miura Jota de 1970

Ixo/Hachette/AutoPlus – collection Lamborghini, n° 14

 

Où comment enlaidir un modèle aux lignes sublissimes… Mais faut bien le reconnaitre, Ixo s’en sort tout aussi bien – sinon mieux – que Kyosho (réf. 03201R) dans le rendu de cette Miura défigurée. Toutefois il ne s’agit pas de la reproduction de la même voiture. Toujours est-il que cette nouvelle Miura nous reproduit correctement les lignes, volumes et coloris de l’original. Elle souffre toutefois de montants de pare-brise trop épais et de vitres latérales un poil trop petites. Pour le reste la gravure assez fine semble noyée sous une peinture encore trop épaisse. Tout comme l’essuie-glace unique qui manque de finesse. Ajoutons le bouchon du réservoir peu discret fixé sur le couvercle du compartiment avant. Les sorties d’air sont bien creusées sur celui-ci. Alors que deux petits rétroviseurs sont présents sur les bossages des ailes avant. Les optiques sont bien protégées sous des bulles en plexiglas. S’il y a bien des optiques additionnelles sous l’arête de ce couvercle, il n’y a pas de représentation des clignotants. A noter que l’écusson Lamborghini brille par son absence. A noter le dessin différent des voiles des roues avant et arrière. Pour une fois de dimensions apparemment correctes. Le dessin des feux arrière peut être sujet à de longues discussions en fonction du modèle vraiment reproduit. Je passerai donc sur eux pour m’attarder sur les quatre sorties d’échappement débouchant entre eux. Mais surtout sur l’espèce de store vénitien qui fait office de lunette arrière. Bien ajouré, il laisse deviner la reproduction en quasi 3D du dessus du moteur transversal placé en position centrale. Le mobilier intérieur est entièrement noir et bien détaillé. Malgré tout il est possible d’y découvrir deux sièges baquets à haut dossier et harnais. Il y a aussi les cadrans du tableau de bord. Le soubassement de type fond plat est un peu détaillé.

 

PANHARD Dyna X de 1950

Ixo/Altaya – collection des Voitures françaises d’autrefois, n° 84

Que revoilà cette difforme Dyna X qui nous fut déjà servie à deux reprises. La première fois, sous le n° 50 de la collection des Voitures d’antan (cf. le n° 23 de l’alors Collec’Hebdo 43, daté du 13 janvier 2006) dans une livrée orange. Puis, une deuxième fois, sous une livrée bleu foncé, sous le n° 72 de la collection de la route bleue (cf. le n° 301 de l’alors CH43, daté du 16 mai 2011). Alors pourquoi pas une troisième fois ?

Bien sur … Pourquoi ne pas proposer à nouveau un modèle dont les lignes sont on ne peu plus sujettes à interprétation. C’est rien de dire que l’on retrouve un moule raté et disproportionné. J’ai toujours l’impression que ce modèle a été réalisé à partir de photos prises de trois quarts avant pour obtenir un tel résultat. En effet, si l’on retrouve assez les lignes baroques de l’original leurs proportions sont mal respectées avec un avant trop long et un arrière trop ramassé. A croire qu’il a fallu compenser pour conserver la longueur de la vraie. Pourtant les cotes de ce modèle sont-elles aussi trop grandes pour être vraiment au 1/43ème. L’avant aurait gagné à être un peu plus vertical et l’arrière un peu moins pour les rétablir. Toutefois, ce modèle jouit d’une belle présentation. Quelques détails sont rehaussés par  la peinture chromée. Les roues sont très finement reproduites mais il manque toujours le monogramme Panhard sur les enjoliveurs centraux. Ce modèle bénéficie d’un intérieur lie de vin qui permet de remarquer les deux sièges avant et la banquette arrière, accompagnés d’une planche de bord et d’un volant ivoire, mais aussi du levier de vitesse. Le soubassement n’est pas détaillé.

 
Par abonnement
 
 

 

Partager cet article
Repost0
Published by Trebor Yles
13 mai 2015 3 13 /05 /mai /2015 12:09

Bonjour

je ne suis pas en mesure - pour le moment - de mettre en ligne le numéro daté du 11 mai 2015

vous le trouverez d'ici lundi prochain (18 mai 2015)

désolé pour ce contretemps causé par un emploi du temps chargé

j'espère vous retrouver

merci de votre compréhension

Trebor

Partager cet article
Repost0
Published by Trebor Yles
26 avril 2015 7 26 /04 /avril /2015 14:07
 
n° 31/476 du 27 avril 2015

Modèles presse

 

Augmenté le 27/04/2015 par la présentation d'une SIMCA Aronde Châtelaine

CHENARD & WALKER 1500 CPV de 1949

Ixo/Altaya – collection des Voitures françaises d’autrefois, n° 82

 

Qu’est ce que ce 1500 CPV est venu se fourvoyer dans cette collection ? Collection, je le rappelle, portant comme sous titre : Marques disparues et modèles prestigieux. Cela sent on ne peut plus la fin de celle-ci. Et pourtant… Et pourtant, même s’il est le dernier représentant d’une marque prestigieuse, ce fourgon est resté plus connu sous le label de Peugeot D3A puisqu’il connut une large diffusion sous cette dernière appellation. C’est peut-être pour cela qu’il nous est proposé aujourd’hui. En effet, il semble dériver du moule de l’ambulance D3A des sapeurs pompiers proposée sous le n° 10 de la collection des Camionnettes d’antan (cf. le n° 07 de l’alors Collec’Hebdo 43, daté du 23 septembre 2005 – put… presque dix ans !!!). Toutefois il en diffère principalement au niveau de sa face avant, où, antériorité oblige, il est dépourvu de clignotants. Mais aussi des grilles d’aération latérales, de part et autre du fameux « nez de cochon » dont il fut affublé. Notons toutefois que si Ixo a fait disparaitre ces appendices, il n’en a pas profité pour reproduire le bouchon du radiateur qui manque toujours. Pour le reste, nous retrouvons bien les lignes et volumes de l’original avec une belle reproduction de la plaque du constructeur placée à la base du pare-brise. Dommage que les puits des flèches directionnelles soient vides. Les roues paraissent bien à l’étroit sous leurs arches. Les feux arrières ne sont que peints. Le mobilier intérieur est entièrement noir. Le soubassement est détaillé.

 

LAMBORGHINI Gallardo

Ixo/Hachette/AutoPlus – collection Lamborghini, n° 14

Je ne suis pas en mesure de vous présenter ce modèle car il n’est pas parvenu jusqu’à mon pressier. Encore un des mystères de la distribution de nos collections presse.

 

RENAULT Galion de 1956

Ixo/Altaya – collection des Camions d’autrefois, n° 129

 

J’ai failli dire, « encore une camionnette d’autrefois » en voyant de loin ses dimensions réduites. Mais j’ai du me reprendre en découvrant ce Galion à benne basculante. Faut dire qu’à part sa couleur vert d’eau qui me rappelle la Fiat 500 qui fut ma première voiture, il me rappelle celui qu’avait mon oncle, entrepreneur de maçonnerie, qui était gris. Nous retrouvons donc un modèle déjà vu sur ce blog il y a peu, mais à la benne fermée. Celui qui sera proposé sous peu dans la collection des Véhicules du Garage moderne, visible dans le n° 28/473 de Quinzo43, daté du 16 mars 2015. A ce sujet je voudrais corriger le commentaire qui accompagnait les photos en ce sens que le panneau arrière est bel et bien articulé, comme sur celui présenté ci-après. Mais il est bloqué par le couvercle. Ce qui n’est plus le cas aujourd’hui, puisque la benne en est dépourvue. D’où ma question : cherchez l’erreur ?  A la question du pourquoi ce modèle, proposé à 19.99 € ne possède pas le couvercle dont est équipé celui proposé à 17.99 € dans l’autre collection ? Et il y a aussi un autre détail qui m’avait échappé. La présence de roues de type artillerie pour les roues arrière jumelées ! Un beau modèle cependant.

 

SIMCA Aronde Ranch (AM 1961)

Ixo/Altaya – collection des Voitures françaises d’autrefois, n° 83

 

A plusieurs reprises déjà, je n’ai pas présenté sur ce blog le modèle de cette collection de la quinzaine au motif qu’il s’agissait d’un doublon, pour avoir été précédemment proposé dans une autre collection.  A d’autres, je vous les ai cependant présentés car il s’agissait de modèles Simca. Et à devenir une annexe à la collection éponyme que nous connûmes il y a quelques années, autant que l’on nous propose de l’inédit. Tant il manque encore en presse des versions comme, par exemple, la Simca 1000 Spécial, dont je possède pourtant un prototype…

Aujourd’hui, nous retrouvons le moule qui servit à la réalisation de l’Aronde P60 Ranch de 1960 dans sa version de présentation. (cf. le n° 112 de l’alors Collec’Hebdo 43, daté du 01 octobre 2007). Mais ce n’en est pas pour autant une Châtelaine. Abattant arrière en faisant foi. En effet, c’est bel et bien celui du Ranch que nous avons sous les yeux. Et pour cause, l’abattant arrière de la Châtelaine, comme celui de toutes les autres Aronde utilitaires surplombait la plaque d’immatriculation qui était encadrée par le pare-chocs composés de deux éléments. (voir photos) Seul le ranch possédait un pare-chocs arrière complet et composés de trois éléments, dont un central. D’où le déplacement de la plaque d’immatriculation au centre de l’abattant. A la décharge d’Ixo, d’autres réducteurs se sont aussi pris les pieds dans le tapis, comme Universal Hobbies (voir sur le blog de mes Simca).

Ceci étant  Ixo, ne nous propose toujours pas un modèle parfait. En effet, son pavillon manque encore, et toujours,  de bombé (1), ce qui est encore plus flagrant lorsque l’on regarde l’arrière. De plus, il est difficile, une fois encore, d’identifier l’année modèle reproduite car ce modèle   est équipé d’un pare-chocs avant avec butoirs au lieu de simples crosses. Par contre il est enfin doté de roues « ordinaires » à voile peint en noir et dotées de petits enjoliveurs centraux. La présence du monogramme Simca, sur l’arrête du capot moteur, laisse préjugé que nous sommes devant une reproduction de l’année modèle 1961. Mais où sont passées les fines baguettes chromées courant sur ses flancs ? Ceci dit toute la partie antérieure à la base du pare-brise est fort réussie. Avec une belle grille calandre chromée et des optiques à casquette. Le profil souffre du pavillon trop bas qui influe aussi sur le dessin de l’arrière dont la partie située au-dessus de la ceinture de caisse manque de rondeurs. De plus les roues restent de trop grand diamètre – phénomène de plus en plus récurent ces derniers temps, quel que soit le réducteur d’ailleurs. Le sigle Simca apparait bien en haut et à droite de l’abattant arrière. Notez l’embout d’échappement accessoirisé et redressé, par rapport à celui de la collection Simca. Ceci étant, l’intérieur coloré nous propose toujours une version avec la banquette arrière repliée mais aussi, à l’avant un bien curieux aménagement composé d’une banquette à dossiers séparés, à la place de deux sièges indépendants. Est-ce une astuce pour réaliser une économie ? Le soubassement est détaillé.

(1) Ne pas oublier que toute la cellule arrière est celle des modèles antérieurs
Petit retour en arrière
Réalisation de la Châtelaine, n° 96 de la collection Simca

 

Au départ il fut fait appel au moule utilisé pour la Châtelaine de la collection de la route bleue. Moule qui avant l’avantage de nous proposer toute la partie postérieure au train avant assez juste. Mais dont la face avant, à la calandre manquant de hauteur et aux optiques sans casquette, lui donnait des airs de Skoda Octavia des années 1960. Ce moule fut abandonné pour lui préférer celui du Ranch que l’on eut dans une livrée bleu gris. L’idéal aurait été de combiner les deux puisque le second propose une bonne face avant jusqu’à la base du pare-brise. A noter que le prototype de cette Châtelaine possédait une roue de secours, correctement placée à l’intérieur de l’habitacle, à droite derrière la banquette arrière.

 
 

Par abonnement

 

 

CITROËN U55 Carrossé par CURRUS pour Cityrama (1955)

Ixo/Hachette – collection des Autobus & autocars du monde, n° 09

Avec ses allures de « Bateaux mouches » cet autocar destiné à la visite de Paris était très attendu depuis l’annonce de sa présence dans cette collection. Et autant l’écrire tout de suite, vu les grandes surfaces vitrées courant tout autour de ce véhicule, il aurait été intéressant d’y placer conducteur et passagers. Mais il s’avère très compliqué de l’habiter sans couper les pieds des figurines. Peut-être qu’Ixo pourrait nous proposer dans quelques mois une version boutique avec occupants spécialement réalisés pour… Faut bien rêver de temps à autres vu les temps qui courent. Ce d’autant que ce drôle d’autocar est finement réalisé. Et qu’il nous restitue de très belle manière lignes, volumes et présentation de l’original. Ce, même si la forme de ses sièges soit assez simpliste pour être vraiment réaliste. A noter toutefois, au vu des clichés du véhicule immatriculé 4854GT75 que celui-ci avait des rétroviseurs latéraux suspendus. Non des rétroviseurs projetés vers l’arrière. En tout cas, une très belle pièce qui occupera une place d’honneur dans nos collections.

 

SAURER L4C (1949)

Ixo/Hachette – collection des Autobus & autocars du monde, n° 08

Encore un modèle très soigné dans sa réalisation. Mais l’assemblage a laissé des traces de doigts et de produits sur les vitres. La portière arrière rapportée est-elle le signe d’une autre version à venir ?

 

 

Partager cet article
Repost0
Published by Trebor Yles